J'étais complètement perdu dans ce nouvel environnement, complètement paumé. Et pour ça, j'en voulais beaucoup à mon grand frère. J'en ai marre quoi ! Je veux bien qu'il soit un malade de l'histoire, mais putain il aurait pu se retenir de faire une telle connerie quoi. Franchement y en a parfois qui feraient mieux de rien faire au lieu de penser faire un truc super intelligent qui en fait ne l'est pas du tout, mais vraiment pas. En plus ici je connais personne, je sais pas ce qui se passe, je sais pas quoi faire, je galère un peu pour m'occuper la journée sinon le soir je suis obligé de retourner dans les jupons de mon frère sous peine de subir un horrible crise de nerfs dont je risque de me souvenir pendant très longtemps. Et le pire, c'est que je crois que sans le vouloir, mon frère a embarqué mon ex petite amie que je ne supporte pas dans cette putain d'époque de mes deux !
Bref, je suis pas trop d'humeur a traîner dans cette ville pourrie, alors je vais me promener en dehors de la ville, là où je suis presque sûr que personne ne viendra me déranger, j'ai envie de voir personne de toute manière, sauf peut être ce con de marquis de je sais pas trop quoi. York je crois... Enfin, ce mec il m'intrigue trop, un truc de fou. Il est super distant, mystérieux, attirant et... Oui je l'avoue il est tout simplement beau ! Même très beau je dirais. J'ai jamais vu un garçon aussi séduisant, et même la plus belle fille de mon université où j'allais ne lui arriverais pas à la cheville. J'avoue que j'ai jamais flashé sur un mec, parce que j'étais un sacré coureur de jupons, mais celui là, j'ai envie de le connaître, de faire ami-ami avec lui même si je sais que nous n'avons pas les même visions des relations humaines tous les deux. Lui, il est carrément obligé de traîner avec des gens de son "rang". C'est pour ça que quand je suis tombé sur lui et que j'ai essayé d'amorcer le dialogue, il m'a renvoyé balader, ni gentiment ni méchamment. Entre les deux. Mais je ne renoncerais pas, je compte bien le compter dans mes conquêtes ! Non je rigole bien sûr, j'aimerais seulement être plus proche de lui, être ami, voire plus et si affinités... Je me fais des films moi ? Non, quand je veux quelque chose, je sais coment l'avoir et je ne renonce pas avant de l'avoir définitivement.

Je suis adossé à un arbre. Il fait beau, les champs sont quasiment déserts. Le soleil cogne, y a une rivière juste pas loin, si j'ai chaud j'irais me rafraichir. Alors que je somnolait, je vois une silhouette au loin qui m'est autant familière qu'inconnue, si je peux dire ça comme ça. Je le reconnais en une seconde. Je me lève et me dirige vers lui. Il est dos à moi et ne semble pas m'avoir reconnu, il est seul, c'est parfait. Je m'avance silencieusement, il ne sait certainement pas que je suis là. Arrivé derrière lui, je souffle quelques mots à son oreille.

_Alors, on est pas chez soi aujourd'hui ? On a décidé de promener tout seul ? C'est pas un endroit très sûr pour quelqu'un comme toi, on sait jamais sur qui on peut tomber.

Aujourd'hui était une journée magnifique on en avais rarement vu de pareil à Londres, cela me rendais presque euphorique J'avais l'impression d'être a nouveau Gabriel, juste Gabriel. C'était décider j'allais sortir de ma tour cette fois. J'était vétue de pourpre, la couleur royale, je n'aurais techniquement par le droit de porter de tel artifice est réservé à la famille royale, mais bon comme je suis sûr que le roi et trop préoccuper par lady Anne Boleyn je me permet de penser qu'il ne viendra pas s'amuser aujourd'hui. Lors du petit déjeuné en compagnie de mes amies, oui car au file du temps nous somme devenu amis je leur annonça que je sortais cette après-midi. Elle, elle n'en avais pas le droit, elles avaient le droit d'aller dans le très grand parc de Whitehall, mais pas de quitter la propriété- Elle m'envièrent bien sûr d'être de sang noble et de faire tout ce que je désir, mais pas vraiment en fait, je ne fait pas tout ce que je désir bien au contraire. En remontant dans mes appartement je fit appeler une de mes femmes de chambre


-Pourrais-je vous demander de faire seller mon cheval je compte aller prendre l'air à la campagne. Et si le roi viens faite en sorte de ne pas me décevoir

-Bien monsieur

J'enfilais des gents de cuir, et quelques instants plus tard je descendis au écurie ou je trouvai mon étalon penser et seller. je remerciai mon valet puis montai et sorti de la propriété en galopant. Arriver dans les prairies au delà de la capitale je descendis de ma monture et attachai celle-ci à un arbre avant de commencer à retirer mes vêtement, enfin ma veste mon gilet mon couvre chef a plume de paon. je retirai mes gents et les jetait à côté du reste. je détachait également ma chemise qui était désormais ouverte jusqu'au milieu du torse . J'étais vêtu ainsi désormais, botte brune foncée pantalon de cuir noir et chemise blanc crémeux que je retroussai jusqu'au coude. Je retirai aussi ce qui attachai mes cheveux. Là, enfin j'étais redevenu Gabriel Campton. je me mis à courir dans la prairie en laissant le marquis près de mon cheval. je m'arrêtai à la hauteur de la rivière avec un sourire en coin. Celui-ci disparu lorsqu'un murmure parvins à mes oreilles. Jordan Brandon. Cet homme peu s'averré très effrayant surtout s'il continue a me suivre à la trace partout ou je vais il est là. je ne vais pas dire que j'ai peu mais disons que cela m'inquiète un peu. je me retourne


-Pas vêtu ainsi. Un marquis ne s'habillerait jamais comme cela même pour chasser. ça se sont les vêtement d'un homme simple mais c'est de loin les plus confortable


Dis-je simplement en jetant à coup d'oeil au garçon avant de me retourner vers la rivière et de m'assoir au bord

Quand j'étais encore dans ma véritable époque, j'avais parfois besoin de m'échapper de mon appartement, j'avais l'impression d'y étouffer, de manquer d'air. Alors j'allais dans un parc qui n'était pas très loin. Mais souvent ça ne me suffisait pas, j'avais encore besoin de plus, toujours plus. Alors je prenais ma voiture, je roulais une ou deux heures sur des routes de gravier pour arriver dans un champ abandonné aux herbes et fleurs sauvages. Les herbes grimpaient si haut qu'elles m'arrivaient au niveau du ventre. J'allais en plein milieu de ce champ, je m'allongeais dans l'herbe et je fermais les yeux. Il m'arrivait de m'endormir et de n'être réveillé que par une fine brise qui s'était levée en même temps que la nuit était tombée. Mais sinon, je restais les yeux fermés. Et ça me relaxait, c'était la seule chose qui pouvait calmer mes nerfs. C'était mon jardin secret en quelque sorte. Et jamais je n'y suis allé avec une fille, je n'ai montré cet endroit à personne, je le gardais précieusement pour moi. Je m'étais juré de partager cet endroit avec la personne qui ferait réellement battre mon coeur, celle pour qui je donnerais ma vie, celle qui attirerait mon regard et qui m'empêcherait de regarder tout autour, celle qui aurait mon coeur et tout mon amour. Malheureusement, je n'ai jamais trouvé cette personne. Jamais. Est ce que je la trouverais ici ? Je pense que oui, peut être même qu'elle se trouver juste sous mes yeux et que je regarde encore trop loin pour la voir. Peut être est ce... ce Gabriel ? Je ne sais pas. Disons que je ne sais pas vraiment comment on se sent quand on est amoureux, alors comment pourrais je savoir si je suis amoureux ? Je pense que la réponse me viendra le jour où je tomberais amoureux. Mais comme je suis du genre à me poser des milliers de questions, je me demande si je ne suis pas déjà amoureux et que je ne l'ai pas remarqué. Pourtant, personne ne fait, pour l'instant, battre mon coeur plus vite que la normale. Ou peut être, Gabriel, mais je ne sens qu'une légère accélération quand son regard croise le mien après qu'il se soit retourné à mon murmure. Une accélération aussi légère que la brise, mais quand même perceptible. Sa chemise est largement ouverte sur son torse, mais j'évite d'y plonger mes yeux. J'écoute ce qu'il me dit, mais je ne lui répond pas et je me contente ensuite de le regarder s'asseoir au bord de l'eau. La rivière est profonde, mais pas trop non plus. L'eau a l'air agréablement fraîche sous ce soleil de plomb et l'envie me prend d'y piquer une tête. Mais j'aimerais d'autant plus que le beau jeune homme que j'ai sous les yeux m'accompagne pour faire quelques brasses. Je me surprends même à avoir envie de le voir torse nu, voir complètement nu. Bon d'accord, j'éxagère, pas totalement nu c'est vrai, mais torse nu oui j'aimerais bien ! Si son corps est aussi agréable à regarder que son visage, je pense que je ne pourrais plus décoller mes yeux de cette sublime créature. Il est vraiment rare qu'un garçon arrive à m'attirer autant, je pense que c'est le seul qui me fait cet effet d'ailleurs... Peut être n'est ce qu'une simple passade après tout ? Peut être que dans quelques jours je le trouverais inintéressant, comme toutes ces filles qui me suivaient sans arrêt dans mon université. Des groupies en chaleur...

Je décide de venir m'asseoir près de Gabriel. Pas trop près non plus tout de même, une certaine distance est raisonnable pour l'instant. On ne se connait que par nos prénoms et noms, on ne sait rien l'un de l'autre. Et je sens en moi que j'ai vraiment très envie de le connaître, il est tellement mystérieux qu'il m'attire carrément. Je tourne la tête et détaille son visage. Il a un véritable visage d'ange ce gars là... Je décide de briser l'agréable silence qui s'était imposé entre nous deux.

_Tu penses que je te suis ? Tu fais erreur, j'étais là pour échapper à la ville. Le hasard nous a réunit. Et je pense qu'on devrait peut être en profiter pour faire plus ample connaissance. Enfin, ce n'est que mon point de vue personnel, t'as le droit de refuser.

Cela faisait du bien d'oublier un peu mes fonction et de me retrouver tel un simple garçon. J'avais laisser ma monture que j'avais appeler Jocaste 500 mètres plus loin avec tout mes vêtements de noble anglais. La campane me permet d'être l'artiste qui est mot à la disparition de mon père et de mon frère ainé. Sincèrement je ne pensais pas croiser quelqu'un, il fait si beau, le gens préfère les parcs l'herbe y est bien couée les arbre sont taillés à la perfection. Peu de personne aime la vrai campagne avec des herbes tellement haute qu'elles vous arrive à la taille, moi j'adore cela j'ai l'impression d'être libre. je me passe un main dans le cheveux qui étaient enfin détacher, cela faisait très longtemps que je ne me les suis pas détacher pour autre chose que dormir. ça fait du bien d'être enfin moi. Lorsque j'entends la voix ténébreuse de Jordan je sens ma peau frissonné Il ne fait peut être aucun effet au Marquis mais J'avoue que à moi il me fait un certain effet, en fait je me dis que si je n'avais ce rang je l'aurais sans doute déjà embrasser. bon je ne vous parle pas d'amour l'amour est un sentiment bien trop beau et bien trop compliqué pour que je puisse y toucher, même si j'en rêve secrètement. je me retourne et croise son regard pour lui répondre avant de m'assoir au bord de la rivière qui brillais sous les rayons du soleil je mis une main dedans pour sentir la température. Hum ça vas c'est pas trop froid, je pourrais peut être m'y baigner. Je le sentis s'assoir à côté de moi et me demander si ou pouvais faire plus ample connaissance. je relève mon regard marron sur lui avec un très léger sourire


-Tu veux me connaitre ce que tu a vue ne te suffit pas pour avoir envie de me voir la tête tranchée ?!


Demandais-je en repensant a toute les fois ou je l'ai virer tel un chien de Whitehall J'ai été injuste, je l'avoue, mais les amis du rois peuvent si vite devenir des traitre, j'ai peur en fait j'ai l'impression qu'a tout moment il pourrais m'envoyer en prison et me condamné après tout le roi décide de tout


-mais si tu y tiens mon nom complet et Gabriel Thomas George Campton fils de Thomas Campton marquis de York..Normalement je n'aurais jamais dûs hérité du titre mais l'épidémie de suette a tuer mon frère ainé.
Lorsque j'étais encore jeune je me considèrait comme un poète et un musicien et je passais mes journée dans ses prairie parce qu'il n'y a que là ou j'avais al possibilité de respirer.


Dis-je avant de m'allonger dans l'herbe haute et de fermer les yeux. Il n'y avais rien d'autre a savoir sur moi en tout cas rien qu'il ne mérite d savoir encore.

Je me souviens qu’avant, dans ma chère époque du 21ème siècle, lorsque mon frère me tapait un peu trop sur les nerfs (ce qui arrivait assez souvent d’ailleurs…) je prenais une guitare et allais m’isoler dans mon coin de campagne secret. J’y passais des heures à jouer, je jouais n’importe quoi, ce qui me passait par la tête. Ca me permettait de me reposer, de me calmer surtout. Parce que je savais très bien que si je n’étais pas calmé en rentrant chez moi, j’allais gueuler sur la première personne qui aurait le malheur de croiser mon chemin. Ca faisait donc que je rentrais souvent très tard le soir, tout le monde dormait, mais je m’en foutais. Je rentrais, je mangeais un morceau, prendre une douche puis j’allais me coucher. Je faisais beaucoup de bruit, mais je m’en foutais de ça. De toute façon, ça ne réveillait jamais personne, ou alors ils faisaient semblant de rien entendre et de dormir comme des loirs. Quoiqu’il en soit, ça m’arrangeait de tous côtés donc bon…
Après que j’ai demandé au charmant garçon assit à côté de moi si l’on pouvait faire plus ample connaissance, il me regarda avec un léger sourire avant de me demander si ce que je voyais de lui ne me suffisait pas ou si il fallait que je le vois aussi la tête tranchée. Ouah, il est direct comme gars, ça me plaît. Je n’aime pas les gens qui tournent trente ans autour du pot, j’aime quand c’est direct et franc. Il me plaît de plus en plus ce Gabriel. Je sais très bien qu’il risque d’avoir des ennuis si on découvre que je traîne avec lui, ou plutôt qu’il traîne avec un type aussi bizarre que moi. Enfin, des ennuis, c’est peu dire : il risque carrément sa vie à ce jeu là. Mais de toute façon, mon frère a bien délivré cette femme dont j’ignore même le nom et qui était sur le point de se faire trancher la tête, alors j’arriverais bien à le convaincre de délivrer Gabriel si jamais il a des ennuis par ma faute. Et même si il a des ennuis tout cour je l’aiderais. Mine de rien, je me suis super attaché à ce gars là. Et si je n’avais pas peur de le perdre définitivement, je crois bien que je lui aurais sauté dessus. J’apprends alors qu’il a hérité son titre de son père parce que son frère aîné est mort. Aïe, ça doit être dur. J’avoue que je ne montre pas souvent à James que je l’aime, mais je ne pense pas que je supporterais de le perdre. Il m’avoue aussi qu’avant, quand il était jeune, il aimait venir ici parce qu’il était un poète et musicien. Après cette déclaration, il s’allonge dans l’herbe en fermant les yeux. Il est vraiment beau comme ça… On dirait presque un ange. Ouais, un ange. Si je me retenais pas, je pencherais sur lui pour m’allonger contre lui et certainement que je l’embrasserais. Je ne sais pas si je pourrais résister longtemps à cette horrible tentation.

_ Bah, on peut dire que ton histoire est bien plus passionnante que la mienne… Moi je passe mes journées à rien faire, à traîner de partout en essayant d’échapper à mon ex petite amie qui veut à tout prix me récupérer… Je sens que bientôt je ne résisterais plus à l’envie de lui foutre une bonne claque dans sa gueule à celle là…

Dis je en soupirant rien qu’à la penser de cette fille… Isabelle je crois ? Je sais plus, je me rappelle même plus de son prénom. En même temps, je l’ai prise seulement pour un coup d’un soir et quand j’ai voulu la renvoyer elle s’est accrochée comme pas possible, elle est persuadée qu’en réalité je ne veux pas m’avouer que je suis amoureux d’elle, ce que je ne suis pas. Bref…une grosse merde de plus sur le pare brise de ma vie.
Je regarde Gabriel, en me demandant s’il dort ou non. Je finis par détourner mon regard, ne voulant pas qu’il croit que je le matte ouvertement, ce qui serait plus qu’exact. Je regarde l’eau, avec une folle envie d’aller y plonger une tête. Je me redresse, retire mon T-shirt que je laisse tomber pas loin avant de plonger une jambe dans l’eau. Je garde quand même mon baggy, on sait jamais. Une fois complètement dans l’eau, celle-ci m’arrive au niveau de mon ventre, je prends un peu d’eau dans mes mains et la lance sur Gabriel. Une envie de l’embêter un peu…

Passionnante, je ne dirais pas ça ma vie n'ai pas passionnante car tous le gens ici on une vie semblable à la mienne il n'y a que lui a qui la suette n'a rien fait. Mi d'ou vient-il ? De plus un a une de ses langage c'est quoi cette façon de dire fiancée. Bah oui moi je connais pas le terme de petit ami j'ai compris grâce à ex mais sinon >< Pourtant que suis un homme instruit je sais lire écrire et même calculer et je vous jure c'est pas donner à tout le monde ça. Je m redresse après un moment Décidément c'est...trop bizarre Il est certes beau et il m'a l'air gentil, mais Je risque tout de même ma vie. Oh je sais bien que son frère a secouru Anne Boleyn (j'ai fait le rapprochement grâce au nom de famille) Mais James et rechercher pour trahison il ne recommencera jamais, seul un fou oserais ainsi défier le roi d'Angleterre d'Irland et de France. Dans 'hypotèse ou je me fait attrapper je ne pense pas que j'aurais peur de la sorte, j'ai toujours était un bon chrétien et j'ai servis dieu depuis ma naissance je ne pense pas risqué l'enfer Bien sûr si je cède à la tentation de Jordan l oui l'enfer ouvrira ses porte pour moi, mais sinon non . Bon bien sûr j'aurais peur de mourir, mais tout le monde à peur de mourir. Mais au moins je l'aurais rencontré, lui Et se serais un façon pur moi je revoir des deux soeurs si aimante à mon endroit.. De toute façon..actuellement je suis dans am dix-neuvième année J'ai passé bien trop de temps à être un enfant je suis certain qu'une mort naturel viendra frapper entre trente et quarante ans. J'en ai dix-neuf et j n'ai ni femme ni enfant. Ici s'éteindra la ligniée Campton...Il y a de forte chance malheureusement. Car oui je peu avoir des enfant mais pas comme on le voudrais. A vrai dire étant donner que je ne suis qu'a moitié stérile...Oui enfin passons je n'aurais pas d'enfant car la façon d'en avoir et totalement contre nature. Mais Jordan me sorti de mes pensées peu réjouissante en me jetant de l'eau dessus


-Ehh étranger on ne touche pas à la noble personne qu'est le marquis de York


Dis-je en m'approchant de l'eau pour le gicler à mon tours. Nous parton dans un vrais petit bataille au point que je sois totalement trempé et que ma chemise colle désagréablement à ma peau. Je fini par lever les mains en signe de résignation et me rassois un peu plus loin sur la berge.


-D'ou viens-tu ? J'ai peine a croire que tu n'ai qu'un simple étranger. J'ai jamais vu des vêtement pareil ni de coiffure comme le tient en lus tu a un drole de truc là


Dis-je en montrant mon propre labret décalé qui lui était vierge.

-Et tu t'exprime co...avec des mots soit très vulgaire soit que je ne connais juste pas....


Avouais-je en regardant l'eau briller sus les rayons du soleil. Mis il refusais de me dire, il tournait un peu autours du pot. je triturais mon pentendif en forme de croix chrétienne que je portais On m'avais fait jurer sur l'honneur de la famille de ne jamais en parler. mais je voulais absolument savoir d'ou il venait. Alors le mieux c'est un secret contre un autre non ?


-Ecoute si tu me raconte ton secret je te raconterais le miens. S'il te plait

De nature très solitaire, je m'isolai souvent et je ne laissais pas grand monde m'approcher. J'étais très...méfiant on va dire. Au collège, j'avais pensé avoir de vrais ams mais ils m'ont lâché au premier coup dur, juste au moment où j'avais besoin d'eux. Alors par la suite j'ai décidé de ne plus faire confiance à personne, sauf aux personnes pour lesquelles mon coeur me hurlerait de briser moi même ma carapace pour me rapprocher d'elles. Et c'est exactement ce qui se passait avec Gabriel. Quand je le vois rire alors que l'on s'amuse à s'envoyer de l'eau comme de vrais gamins, je me dis que pour lui je peux faire une exception, mais il faudrait que lui aussiveuille m'accepter, m'accorder ne serait ce qu'une place minucule dans son coeur, ce dont je doute vraiment. Je sais qu'il prend des risques en traînant avec moi ainsi, enfin on traîne pas vraiment ensemble, aujourd'hui on s'est croisé par hasard, un heureux hasard pour moi en tout cas ! Bref, je m'amuse bien à lui nvoyer de l'eau, et lui a l'air de s'amuser aussi vu comme il rigole. Lorsqu'enfin il lève les mains en signe d'abandon, je lui fait mon super sourire de tombeur, celui auquel aucune fille ne peut résister, mais lui n'est pas une fille et je ne connais pas l'effet de mon sourire de tombeur sur les garçons. Peut être que Gabriel succomberait à mon charme ? Qu'est ce que je donnerais pas pour qu'il me tombe dans les bras... Oui j'avoue, j'ai craqué pour lui, complètement, et le voir sourire me chauffe doucement le coeur.
Puis, je me laisse glisser su le dos, en fermant les yeux pour me relaxer un peu. J'entends plus rien, je réfléchis c'est tout. A un moyen de faire craquer Gabriel, un moyen de l'éloigner de cet environnement trop aristocratique qui le tient prisonnier et l'empêche certainement d'être réellement heureux. Peut être l'est il au fond... Mais je sais pas, j'ai l'impresssion que quelque chose dans sa vie l'empêche d'être totalement heureux, peut être que sa vie ne lui plait pas ? J'en sais rien, je le connais pas assez pour m'avancer. Je sors de mes pensées alors que Gabriel me demande d'où je viens, s'en suit toute une suite de question sur moi, sur mes vêtements et ma coiffure, puis mon piercing. Lorsqu'il le désigne avec ses propres doigts sur ses lèvres, je me surprends à m'imaginer caresser moi même ses lèvres de mes doigts. Je m'approche de lui, posant mes mains a côtés de ses jambes.

_Ca s'appelle un piercing ce que j'ai à la lèvre. D'où je vins c'est très... à la mode on va dire, tout le monde en a. Moi j'en ai un à la lèvre, d'autre au sourcil, dis je en désignant son sourcil de mon doigt. D'autre au nombril ou même à la langue. Mais non, je ne te dirais pas d'où je viens.

Je m'écarte pour faire quelques brasses lorsqu'il me propose un marché : mon secret contre le sien. J'hausse un sourcil. Lui, un secret ? Qu'est ce que ça pourrait être ? Une horrible envie me prend de tout lui dévoiler pour connaître ce petit secret, mais je prendrais trop de risques.

_Ecoute Gabriel, je suis désolé mais je ne peux rien te dire, vraiment. Quand on a bien rigolé là à l'instant, j'avais jamais rigolé comme ça avec quelqu'un, jamais de ma vie je n'avais autant rit. Et...disons que si je te dévoile mon secret, tu risquerais de t'éloigner de moi, de m'ignorer et je ne veux pas te perdre comme ça, parce que mine de rien c'est vrai que je me suis attaché à toi, même si jen ai pas forcément le droit. J'veux pas prendre le risque de perdre la seule personne qui me fait me sentir bien dans ma peau pour une bêtise pareil. Désolé...mais essaye de me comprendre un peu s'il te plait...

J'aimais beaucoup sa compagnie, elle m'était très agréable En plus il avais e don de me faire rire mais vraiment rire pas juste m faire glousser comme je le fait d'habitude. Mais...comment être bien avec quelqu'un si on ne le connait pas, personnellement pour moi c'est impossible. S'il veux faire partie de ma vie que je lui face une place dans mon coeur et que je prenne des risque juste pour le voir et bien j'ai besoin en contre partie de le connaitre. J'essaye, pour obtenir ce que je veux de luis proposé mon secret que j'ai juré devant dieu de ne jamais révéler, mais cela ne changea rien et ce qu'il me dit je me fit pas réagir, du moins pas tout de suite, c'est après quelques instant que je fini par hocher le tête et me lever.


-je sais pas comment c'est "chez toi" mais ici, enfin moi en tout cars pour pouvoir donner ma confiance à quelqu'un il faut que je le connaisse le fait de dire d'ou l'on viens peux nous faire comprendre beaucoup de chose sur la personne et puis c'est une façon d'être plus proche d'elle surtout si c'est une sorte de secret. Oui je comprend que tu ai peur de me le dire Mais comment veux-t que je reste près de toi si je ne te connais pas. Gabriel aimerais beaucoup t'accorder une chance même si le marquis n'en a théoriquement pas le droit mais si je ne peu pas te connaitre la ne sert a rien que je reste ici


Dis-je avant de m'éloigner en direction de Jocaste et de mes vêtement mais, a m-chemin je me retournai.

-Néanmoins si tu le souhaite je peu te ramener en ville le soleil va bientôt se coucher et les prairie ne son pas sûres une fois la nuit tombée

J'aurais sincèrement voulu qu'il me le dise car je suis bien trop méfiant pour laisser ma personnalité en proie à n'importe quoi De plus je suis un homme publique, je ne veux pas risque r ma rune et mon déshonneur ni ma tête d'ailleurs pour rien. J'ai besoin d'être assuré que lui sera là pour moi. Mais dans le cas présent ce n'ai pas le cas.

Je sais que pour beaucoup de personne, il est dur d'accorder sa confiance a un inconnu. Surtout quand on ne sait pas d'où il vient, quand on ne connaît rien de lui. Gabriel connait a peine mon prénom, il est donc normal qu'il ne me faisse pas confiance. Mais il ne sait pas ce que ça peut engendrer que je lui révèle d'où je viens et surtout comment j'ai pu atterir ici. Si je ne veux pas lui dire, c'est que je...j'ai peur de le perdre, il est le seul qui arrive à me montrer que cette vie à cette époque peut être belle, c'est le seul qui me donne le sourire alors que je devrais normalement être en dépression sans mon ordinateur portable ou mon I-pod. Avec lui, je me dis que finalement la vie elle est pas si moche qu'elle veut le montrer. Avec lui, je retrouve le sourire, avec lui je me sens moi même, je me sens bien, tellement bien... J'ai presque l'impression d'être tombé amoureux, mais je sais que si je tombe amoureux, ca pourrait avoir de graves conséquences, surtout pour lui et je ne veux pas qu'il lui arrive quelque chose de grave, je ne me le pardonnerais pas. Je m'en voudrais toute ma vie si il lui arrivait quelque chose. Je me tuerais si il finissait en prison par ma faute, ou pire si on lui tranchait la tete par ma faute ! Je ne surpporterais pas ça, je mettrais directement fin à mes jours. Je ne pourrais pas supporter l'idée de le perdre. Parce... parce que je crois que je l'aime bien... Même plus que bien. Mais je dois garder ça pour moi pour le protéger. Je vous Gabriel qui se lève en me parlant, en me disant qu'il comprend mais qu'il ne peut pas me faire confiance si je ne lui permet pas de me connaitre un peu mieux. Je me mords la lèvre et baisse la tete, il a raison, je me retrouve devant un dilemme : soit je lui avoue et je prends le risque de le perdre, soit je ne lui dit rien et je le vois s'éloigner de moi. Il se retourne finalement vers moi et me propose de me ramener, que les prairies c'est pas très sûr la nuit. C'est maintenant que je dois faire un choix. Bon réfléchis Jordan, fait marcher ta cervelle... Si tu ne dis rien à Gabriel, tu es quasi sûr de le perdre et de ne plus jamais avoir un seul contact avec lui. Mais si tu lui dis, tu garde une chance même minime de le garder auprès de toi. Bon tu chosis quoi alors ? Je lui dis ! Peut être que... De toute façon j'ai pas trop le choix alors bon. Je sors de l'eau, attrapant mon T shirt au passage et reviens vers Gabriel en lui attrapant doucement la main.

_Bon ok, t'as gagné , je vais tout te dire. Mais avant, je veis te dire autre chose. Si je prends le risque de tout t'avouer, c'est ... c'est parce que je ne veux pas te perdre definitivement, parce qu'en te disant ça, je garde une chance minuscule de pas te perdre, parce que c'est pas facile ce que j'ai à te dire.

Je le tire doucement et l'amène près des arbres, là où on a le moins de chance le moins de chance de se faire choper par quelqu'un. Sans vraiment m'en rendre compte, mes doigts caressent doucement la peau de Gabriel. Il a la peau toute douce... Je finis par lui lâcher la main, les joues rouges. Je sens que Gabriel attend ma révélation, mais j'ai peur de lui dire... Mon coeur bat à cent à l'heure. Je sens mes mains devenir moîtes. Je prends une grande inspiration avant de relever lgèrement la tête, je ne la relève pas totalement, juste un peu pour que je puisse le voir si je lève le regard vers lui.

_Je...en faite...c'est assez compliqué... je suis pas là de mon plein gré. Je me suis endormi un soir chez moi, j'étais rentré tard, j'étais resté traîner dans la rue avec des copains. J'étais pas très net, j'avias bu. La seule chose donc je me souviens c'est d'avoir monté les escaliers de chez moi et de m'être lamentablement allongé sur mon lit. Quand je me suis rveillé le lendemain, j'avais l'impression de vivre un rêve, quand je me suis rveillé j'étais dans une rue sale, sur de la paille. En faite, je me suis réveillé dans la ville. J'ai paniqué de pas trouver mon frère, et quand je l'ai trouvé il m'a expliqué qu'en faite on... on était retourné dans le passé..., dis je faiblement. J sais que tu ne dois pas me croire Gabriel, même moi j'ai pas cru mon frère quand il m'a dit ça, je...j'ai faillit le frapper puis je l'ai vu sauver cette femme et j'ai compris qu'il disait vrai.

J'ose même plus regarder Gabriel en face maintenant, et je m'attend à ce qu'il parte en courant à tout instant.

Oui mais pour moi il était impensable d'accorder ma confiance a quelqu'un que e ne connais pas. Non mais sincèrement déjà les gens que je connais je ne sais pas s'il m'aime pour mon titre et ma fortune ou pour moi. Alors un inconnu surtout comme Jordan qui n'a strictement rien ici et bien je me méfie en me disant que peut être tout ce qu'il veux c'est une place à la coure et je suis forcé de l'admettre je peu sans aucun problème lui accorder se privilège en étant un proche de sa majesté. Mais cela me briserais le coeur. mais comme vous la savez je suis trop bon et trop gentil et parfois cela me retombe dessus. je ne préfère pas faire l'erreur avec Jordan. je décide donc de partir cela vaudrait mieux, pour tout le monde. je le propose néanmoins de le ramener car les prairies la nuit ne son pas sûres. Je m'attendais à ce qu'il me réponde non et l'au j'aurais insisté de toute façon Jocaste est une amour cela ne m'aurais pas gêné d'avoir deux passager au lieu d'un seul. Enfin bref. Il sort alors de l'eau prend son.ah je ne sais pas c'est pas une chemise c'est pas un gilet ni une veste on va dire son vêtement et vint vers moi en me disant qu'il allait tout me dire. Il prend alors ma main ce qui eut pour cause que je reçu comme un petite décharge électrique en moi et des petits fourmillement s'installèrent au bout de mes doigts. Je le suivis avide de connaitre son secret jusqu'à la lisière de la forêt ou nous nous installèrent au pied d'un grand chêne. Je me surpris alors a sentir de légères caresse sur ma main ce qui me fit frissonner. Mais il rompis le contacte alors que je le regardais avec insistance. Il commença alors son récit au début j'eus du mal à comprendre cela m'effrayais même. Mais j'essayais de rester calme. Et puis d'où qu'il vienne je l'apréçie quand même même si c'est un peu angoissant. Lors qu'il parla du sauvetage de lady Anne une boule se forma dans am gorge.


-Mais..mais tu sais que ton frère n'a pas sauvé une simple femme, il a sauvé l'ancienne reine d'Angleterre C'était loin d'être une lady comme les autres. Mais alors, si...si je comprends bien tu viendrais du futur ?! D'un futur lointain. Je c'est effrayant voir angoissant Mais sache que...je veux bien essayer de te croire.
Mais raconte moi ..c.'est comment le futur ?


Oh je suis un éternel enfant au font de moi tous les enfants on un jours rêvé de voir le futur, comment il serait. je suis peut être naïf, mais je le crois. Même si cela parait insensé, pourquoi me mentirait-il je ne vois pas ou serais son intérêt a me mentir.


-Est-ce que dans ton futur tu...tu a déjà entendu parler de moi. Si c'est le cas si j'ai pus laisser un trace en quel terme parle-t-on de moi. Ai-je eut des héritiers, comment suis-je mort ?


J'avais tellement de question j'étais totalement emporté par tout cela j'en avais presque les yeux qui brillaient alors que je m'était mis sur les genoux en attendant qu'il me conte am vie ou qu'il me conte le futur. J'étais si pris dans ce qu'il me disait que j'avais l'impression d'être un enfant. Oh mais dans un coin de ma tête je redoutait tout de même si révélation mais en même temps j'espérais beaucoup. Je n'en oubliais néanmoins pas mon marcher, après je lui raconterais mon secret, il parait minuscule pas rapport au sien du coup mais c'est le seul qui puis peut être être valable. x)

Je comprends tout à fait qu'il ne veuille pas me faire confiance totalement, il a raison après tout. Je suis un étranger, je viens du futur, d'un monde qu'il ne connaitra jamais, c'est un truc qui devrait l'effrayer, l'éloigner à jamais de moi. Et j'ai pas envie de le voir tourner les talons, en me lançant un regard pire qu'effrayé, horrifié, peut être même dégoûté. Peut être aurait il le courage d'aller me dénoncer ? Je pense que si il le faisait, je lui en serais reconnaissant. Parce que ça voudrait dire que je me ferais couper la tête, que je mourrais, et je préfère mourir que de vivre en sachant que Gabriel me hait, ne veut plus jamais entendre parler de moi. Ou alors si il ne me dénonçait pas je pense que soit j'irais me dénoncer moi même, soit je mettrais fin à mes jours directement. Amoureux moi ? Peut être j'en sais rien, on verra avec le temps, mais ce que je sais c'est que Gabriel est mon pilier pour ne pas sombrer dans la dépression ici, je supporte mal cette époque et lui seul peut m'aider à surmonter ça. Je l'entraîne à l'ombre d'un grand chêne, tenant doucement sa main dans la mienne. Il a la peau tellement douce que c'est dur pour moi de m'en passer, mais je romps le contact très vite pour ne pas paraitre suspect aux yeux de Gabriel. Et là je commence mon discours, je lui raconte tout sans être vraiment direct, préférant qu'il en déduise lui même d'où je viens. Et il devine facilement. Mon cœur bat un peu plus fort lorsqu'il me dit qu'il veut bien me croire. J'hoche la tête lorsqu'il me demande si je viens du futur. Du XXIème siècle pour être exact. Je souris lorsqu'il me demande de lui décrire comment c'est le futur. On dirait un petit enfant curieux de savoir quelle va être sa surprise. J'ose alors relever totalement la tête vers lui, avec un petit sourire et une larme de joie que je me retiens de laisser couler sur ma joue.

_ Par où commencer... Déjà c'est...enfin pour les paysages, c'est moins bien qu'ici. Dans le futur il y a des immeubles partout, ce sont des maisons sur une dizaine d'étages, c'est gris partout, les villes sont sales, c'est pas super. Mais y a pas que des inconvénients. Là bas tous les enfants vont à l'école, même si ils n'ont pas tous la même éducation, puis y a les nouvelles technologies, c'est compliqué tout ça mais... Fin faudrait que tu vois de tes propres yeux pour comprendre, le futur est très compliqué. C'est dur d'en parler avec des mots tu sais. Mais...je suis heureux que...que tu t'enfuis pas en courant. J'avais vraiment peur de ta réaction.

Je voyais les yeux de Gabriel briller d'une lueur que je ne connais pas. On dirait...un enfant le matin de Noel devant des centaines de cadeaux ! J'eus un petit rire en voyant son regard. Il a l'air un peu effrayé quand même, mais je le comprends. Après tout, moi je sais pas comment j'aurais réagis si on avait été dans la situation inverse. Gabriel me demande alors si j'ai entendu parler de lui dans le futur, si je sais si il a eut des héritiers, de quellle manière il est mort. Je me mords la lèvre, un peu gêné, je ne sais pas si je dois lui dire... Parce que oui, je connais les réponses à ses questions. Bon tant pis, autant être franc jusqu'au bout avec lui. Je lui attrape la main et m'assois pour qu'il en fasse autant, en face de moi. Je ne me rends pas compte que je ne lui lache pas la main, je la tient encore délicatement dans la mienne.

_Oui, j'ai entendu parler de toi dans le futur. Un soir, je suis entré dans la chambre de mon frère, j'étais un peu curieux de voir ce qu'il y enfermait. Je devais avoir...quinze ans, donc c'était y a cinq ans. Y avait une quantité incroyable de livres sur les étagères ! J'en suis resté comme un poisson hors de l'eau, imagine un peu la tête que je devais faire, moi qui déteste lire. J'ai pris un livre au hasard sur l'étagère et j'ai demandé à mon frère de m'expliquer un peu. C'était ton époque qui y était racontée, de long en large. Sur une page, vers le milieu du bouquin, j'ai vu un portrait de toi à cheval, d'ailleurs c'est ce cheval que tu as là bas qui étais sur la peinture. C'est bizarre je me suis...intimidé quand j'ai vu ton portrait. J'ai demandé à mon frère de me dire qui tu étais, il m'a raconté toute ton histoire. J'ai bu ses paroles sans lâcher ton portrait des yeux. Mon frère m'a dit que tu avais eu un héritier, je sais plus si c'était une fille ou un garçon, mais tu as eu, ou plutot tu vas avoir un enfant. Par contre... la suite est beaucoup moins belle, mais je veux être franc avec toi... Quelques années après la naissance de cet enfant, tu t'es fait arrêté pour trahison, et...on t'as tranché la tête... Parce que tu avais eu un amant que personne n'a connu, on n'a jamais su qui c'était. J'suis désolé de te dire ça Gabriel, mais je voulais etre franc avec toi. Mais crois moi, je ferais tout pour que tu ne meurs pas comme ça, je te le promets.

Sans me rendre compte, ma main s'est resserrée sur la sienne à cette promesse que je compte bien tenir.

Oui je buvais ses parole des grand immeuble tout gris beurk ça doit pas vraiment être sympa Mais en ce qui concerne les rues sales je pense que ça a traversé les siècle. J'ai tout à coup une folle envie de voir le futur même si cela doit être effrayant. Je baisse la tête lorsqu'il me dit qu'il vaudrais mieux que je le vois de mes propres yeux. Mai je ne pourrais jamais... A moins que tu accepte de m'y emmener mais cela risque d'avoir des conséquance sur l'histoire


-Mais...M'y emmeneras-tu pour que je le vois ?!


Oui c'était plus fort que moi. Cela m'intriguait tellement Puis, après une question me vint alors à l'esprit, est-ce que moi, Marquis de York avais-je traversé les siècle et c'est ce que dans son présent à lui il me connait. Au début je trouvais cette question très audacieuse, mais en même temps là je ne suis que Gabriel un jeune homme du peuple personne ne croirais que je suis un riche noble de la cours avec mes vêtement tremper. Je le vis alors mal à l'aise. avant qu'il ne me prenne la main pour nous assoir tous les deux avant de me conter ce qu'il s'avait de moi. Lorsqu'il m'avoua que mon portrait l'avais impressionné j'eus un petit rire. Mais lorsue tu m'avoua que j'allait avoir u héritier ou une héritière mon sourire fut d'autant plus franc s'il savait ce que cela représentait pour moi Mais le coup de la haute trahison j'ai nettement moins aimé.


-Surtout pas...Ecoute Jordan l'histoire à été écrite Je ne veux pas que tu la change cela pourrais avoir de grosse conséquance pour ton futur Le fait déjà que ton frère soit venu au secoure de Lady Anne est un acte terrible elle aurai dus mourir. J'ai sans doute eut mes raison de me mettre en danger c'est sans doute rencontré un homme peu fréquentable qui a pris mon coeur en otage et à qui je ne pouvais tout simplement pas résister.


je sens ses main se resserrer autours des mienne ce qui me fait penser que nous main étaient à nouveau réunies. J'ai un léger sourire, cette foi c'est mon tours de raconter mon secret.. je dégage doucement ma main et m'adosse à l'arbre qui nous protégeait des rayon déclinant du soleil.


-Moi je ne sais pas comment le dire par ou ne parler. Sache juste que l'on ma fait promette devant le roi de en jamais parler de ce secret alors pour moi il est important que tu n'en parle pas personne même pas a ton frère. A vrai dire alors que j'avais treize ans j'eus eut des saignement assez étrange qui alarmèrent ma soeur, Anne. il fit venir le médecin de famille qui y regarda de plus près. je n'ose te dire à quel point j'étaitsgéné malgré tout. et il c'est averré que ses saignement se son arrêté et on repris un mois après. Le médecin en a alors déduit que j'étais en réalité mi homme mi femme. D'après mon père je déshonorait la famille, il voulais me retirer ma rente et me mettre dehors et aussi me rayer de son testemment heureusement pour moi il n'en eut pas le temps. Donc d'après ma simple théorie je peux en quelque sorte enfanter. Ce qui explique pourquoi j'étais heureux d'apprendre que j'allais avoir une descendance.


Oh j'était très gêné dans parler, ais c'était un secret contre un autre après tout.

Le futur… Dans mon époque, j’en avais peur. De un parce que je n’étais pas un très bon élève, donc je n’avais pas d’idée d’orientation et donc aucune idée de ce que je pourrais devenir plus tard, et de deux parce que j’avais toujours peur de ce que demain me réservais. Je ne voulais pas vraiment savoir ce qui m’attendait, et je ‘priais’ souvent pour ne pas me réveiller le lendemain. J’avais rien à quoi me rattacher pour continuer de vivre, alors à quoi bon voir demain ? A quoi bon espérer que demain sera un jour meilleur ? Mes parents avaient fait leur vie, mon frère construisait lentement la sienne, et moi…j’étais comme un pion qui passait tout ses tours sur la case départ, j’avançais pas, je faisais du sur place comme, je m’amusais à le penser. J’avais de super arguments pour dormir et ne jamais rouvrir les yeux sur ce monde qui avait l’air de ne pas vouloir que je sois heureux. Alors quand je me suis réveillé dans cette putain de rue, et que mon putain de frère m’a expliqué qu’on se trouvait à je ne sais quel siècle passé, j’ai vraiment pété un câble ! Déjà que je n’aimais pas la période où je vivais, voilà que je me retrouvais dans un siècle où je ne connaissais rien, absolument rien ! J’eus un petit rire en entendant Gabriel me demander si un jour je pourrais l’amener dans le futur pour qu’il voit à quoi ça ressemble.



_ Je ne serais pas contre, loin de là. J’aimerais t’y amener, ça peut être cool le futur parfois. Mais…le problème c’est que je me demande si c’est possible, parce que je crois bien que je suis bloqué ici pour le restant de mes jours alors bon… Mais si c’était possible, je t’y emmènerais là bas avec moi…



Et j’ai faillit ajouter que je ne le laisserais plus retourner dans son Angleterre du roi je sais pas qui, que je le garderais jalousement près de moi, pour qu’il n’est plus aucun code à respecter, pour qu’on puisse enfin avoir une relation amicale et sortir ensemble comme le feraient des amis sans se cacher. Mais si je lui dit tout ça, est ce qu’il ne le prendrait pas un peu comme une déclaration d’amour ?

Après que je lui ai annoncé qu’il aurait un héritier, puis qu’il allait mourir et que je ferais tout pour l’en empêcher, il me supplie carrément de ne pas le sauver, que l’histoire a été écrite ainsi et que je ne devais pas la changer si je ne voulais pas que ça ait de graves conséquences sur mon futur, que mon frère avait déjà fait une énorme boulette en sauvant une femme qui aurait du mourir. Je ne me retiens pas plus longtemps de lui dire ce que je pense, sans pour autant élever la voix contre lui, ce n’est pas le moment de l’effrayer ou le mettre en colère.



_ Hors de question. Comme tu le dis si bien, moi frère a déjà modifié le futur en sauvant une femme qui devait mourir sur l’échafaud. Tu ne penses pas que si je te sauve au lieu de te laisser mourir sous mes yeux ça ne changerait pas grand-chose ? Et puis franchement, qu’est ce que ça pourrait changer dans le futur ? Tu aurais un héritier, et c’est tout ! Si ensuite tu…je sais pas moi, si après tu pars dans une autre ville loin d’ici, et que tu vis ta petite vie tranquille sans avoir d’ennuis ou d’autres héritiers, tu ne crois pas que ça ne changera pas grand-chose d’autre ? Tu ne feras pas de mal à personne, et si tu n’as pas d’autres héritiers tu ne prendras aucun risque d’engendrer un gamin qui risquerait de donner naissance à un criminel ou à une révolution ! De toute façon, tu me feras pas changer d’avis sur ce sujet.



Dis je en croisant les bras et en arborant une moue boudeuse très…puérile on va dire. Je ne lui fais pas la gueule, bien sûr. Je fais juste semblant, j’essaie de le faire craquer comme ça. Si ça ne marche pas, j’essaierais autre chose de plus convaincant. Et si ça ne marche toujours pas bah…je l’embrasserais pour le faire taire ! Je l’écoute ensuite me déballer son secret. Et je reste sur le cul, en faisant un peu les gros yeux. Dégoûté moi ? Non, pas le moins du monde ! Je suis juste… surpris que ça existe à cette époque aussi…ancienne va-t-on dire. Un silence s’installe après sa révélation et je crois qu’il commence à se sentir mal à l’aise. Bon, dis quelque chose Jordan… ah oui ! Je sais !



_Bah tu sais, t’as pas à avoir honte ou autre devant moi. Tu sais, dans le futur y a déjà eu quelques cas comme ça. Bon d’accord ça reste rare, mais ça existe ! Le plus célèbre en faite, c’est une femme qui a subit plusieurs opérations pour devenir un homme, parce qu’elle se sentait mieux dans sa peau si elle était un homme. Puis un jour elle enfin il est tombé enceinte, en couchant avec un autre homme. Quand les journaux ont commencé à parler de lui, il attendait son second enfant. Le premier, c’était une petite fille je crois, le second un garçon, et les deux enfants vont très bien ! Ils sont en parfaite santé et sont très heureux avec leurs deux papas. Bon tu me diras toi tu es un homme, pas une femme. Mais ma mère m’a raconté que quand j’étais petit, y a un homme qui est tombé enceinte. Un problème avec ses chromosomes…pour faire simple il a eu une malformation à la naissance, c’est peut être ce que tu as toi d’ailleurs, et ses enfants à lui aussi vont très bien, ils avaient mon âge dans le futur.



Dis je en me laissant tomber allongé dans l’herbe. Je ne quittais pas Gabriel des yeux. Avec la lumière des derniers rayons du soleil, il était magnifique. Je pourrais passer des heures à le regarder comme ça, je pourrais passer ma vie à graver dans ma tête chaque seconde où les rayons éclairent sont doux visage, chaque courbe de son corps… Non va pas trop loin Jordan >< !



_ J’ai pas envie de rentrer… J’suis bien ici … avec toi…

Mais ce qu'il est borné. est-il bête à se point là ?! Mais si ça ce trouve en sauvant lady Anne James venait de mettre en peril l'invention de je ne sais quel technologie. Je me sépare de sa main et croise les bras. J'aimais pas qu'on me refuse quelques chose ça me vexais. Il ne faut pas oublier que je suis quand même un noble.. je me passe une main dans les cheveux en soupirant à nouveau et en essayant de trouver un truc à dire xD


_Tu es terriblement égoiste tu le sais ça. Toi frère est un imbécile. Même si j'aprèscie grandement lady Boleyn le fait qu'elle aie le vie sauve a complétement changer l'histoire et ça a de grave conséquances. Et même moi on parle de moi dans les livres si je ne meurs pas comme je le dois cela changera toute une facette de l'histoire. Alors voilà tu m'a dévoilé ton secret, je t'es dévoilé le mien, on est quite. Mais sache que je ne te laisserais jamais contre carré l'histoire et si pour cela il faut que je t'accuse d'un crime que tu n'a pas commis pour que l'on te mette en prison avant mon exécution je le ferais. N'oublie pas que je ne suis pas n'importe qui. Mais cela me ferais de la peine que tu ne puisse pas comprendre le l'histoire et bien plus importante pour le monde d'un petit noble comme moi. Après tout je ne suis qu'un homme. je tiens vraiment beaucoup a toi Peut être même plus que je ne le devrais. Mais tu ne toucheras jamais à mon histoire. Je voulais savoir ce qui m'arrivais je ne t'ai jamais demander de m'aider a échapper à mon destin. Et puis réfléchis tu m'as dit que j'enfantais avant et que cela n'arrivais que quelques années plus tard. Comme je ne pense pas que j'enfanterais tout de suite j'ai encore du temps et peut être que d'ici là tu sera repartis


Murmurais-je en me calmant un peu tout en te regardant et en faisant tourner doucement ta tête vers la mienne. je m'approchais lentement comme pour t'embrasser mais je m'arrêtai et me reculai c'était une mauvaise idée. Mais tes lèvre avaient l'air si goûtue. Jocaste commençais à hainir elle en avais marre d'attendre Je tournais la tête vers la direction ou se trouvais mon cheval mais Jordan passa un main délicate sur ma joue pour me faire reprendre ma position inisiale. Cela n'a rien a voir mais je suis tout de même surpris que mon secret ne lui ai pas fait avoir plus de réaction. Mais bon peut être que dans le futur c'est commun....Je ne sais pas.


_Tu es si....fascinant


Murmurais-je alors qu'il passait un main dans ma nuque pour me rapprocher encore de lui. C'était un très mauvaise idée mais qu'est ce que j'en avais envie je me mordais nerveusement un peu de ma lèvre inférieur alors que nos nez s'effleurèrent alors que son souffle chaud s'écrasait avec délice sur le bord de mes lèvres hardantes de désir. Il y allait vraiement très doucement alors qu'une de mes main fain se mette juste au dessus de son genou. Pour avoir un appuis et pas me casser la figure.

J’écoutais à moitié Gabriel me faire la leçon du « je veux pas que tu me sauves parce que sinon tu vas changer ton futur ». Non, je ne voulais pas l’écouter. Je suis quelqu’un de vraiment très têtu et je n’aime pas vraiment que l’on me donne des ordres. Alors même si lui m’en donne, je n’y obéirais pas. C’est pas parce qu’il est un noble ou je sais pas quoi qu’il peut se croire tout permis ! En tout cas, moi, il ne m’obligera à rien et qu’il compte même pas essayer. Bon d’accord, je ferais semblant d’être d’accord avec lui pour lui faire plaisir et pour, comme il dit, éviter que je ne finisse en prison parce qu’il m’accuserait à tort d’un crime que je n’ai pas commis juste avant qu’il ne se fasse exécuter pour que je n’aille pas à son secours. Hors de question que je le laisse mourir sans rien faire ! C’est contre mes principes de laisser une personne à qui je tiens sans aide. Alors ce n’est pas avec lui que ça va commencer ! Il en est hors de question ! J’allais tenter de lui couper la parole lorsqu’il m’avoue qu’il tient à moi, un peu plus qu’il le devrait, même. Mon cœur loupe un battement, j’ai l’impression qu’il s’est arrêté l’espace d’un instant qui m’a paru long avant de repartir de plus belle, battant si fort qu’il pourrait facilement sortir de ma poitrine en me brisant la cage thoracique. J’ai un sourire niais sur les lèvres, et je ne fais plus du tout attention à ce que dis Gabriel.



_ Impossible que je reparte, et puis même si mon frère trouvait le moyen de nous renvoyer d’où on vient, je ne voudrais pas y retourner…je… je veux rester avec toi…



Finis je en murmurant. Maintenant, je n’ai plus qu’une envie, l’embrasser, le prendre dans mes bras, sentir son parfum, sa chaleur contre moi, sentir la douceur de sa peau. Je n’ai toujours pas détourné mon regard de ses lèvres. Je rougis comme une collégienne encore pucelle et détourne la tête pour regarder ailleurs, mais Gabriel tourne à nouveau mon visage face au sien. Je vis alors qu’il commençait à se rapprocher doucement, en tout cas son visage se rapproche du mien et ce n’est pas une illusion ! Je m’approche un peu à mon tour mais sa putain de jument se met à hennir, nous coupant soudainement dans notre nouvelle activité. Et après on me demande pourquoi j’aime pas les chevaux --‘

Je soupire alors que Gabriel se retourne vers son cheval pour regarder dans sa direction. Je lève ma main et la pose doucement sur sa joue pour attirer son attention. Il se retourne vers moi, mon regard se plonge directement dans le sien. J’ai l’impression à cet instant que le monde autour de nous a disparu. Je ne résiste pas à l’envie de passer une main dans sa nuque, alors qu’il me murmure que je suis fascinant. Je ris doucement, ne sachant pas trop pourquoi il a dit ça alors que mes doigts caressent délicatement la peau de sa nuque, une peau aussi douce que la soie. J’ai jamais connu une peau aussi douce que la sienne je crois. Non, jamais une de mes conquêtes n’avait la peau si douce. Je rapproche encore un peu mon visage du sien. Désormais je sens son souffle sur mes lèvres. Et j’en frissonne, mon dieu, comme jamais je n’ai frissonné ! C’est impressionnant de voir comment un simple souffle peut me faire frissonner à ce point. Son nez effleure le mien, je penche un peu la tête pour avoir un meilleur accès à ses lèvres tout en fermant les yeux et en continuant de rapprocher lentement mon visage. J’aimerais que ce moment dure toute une éternité, qu’il ne s’arrête jamais ! Je sens alors enfin ses lèvres contre les miennes, une douce caresse éphémère. J’avais imaginé qu’elles seraient douces, mais elles le sont encore plus que je le pensais. J’appuie légèrement ma bouche contre la sienne, ma main libre remontant lentement pour se poser sur sa taille. Mais alors que je prenais assez de courage pour approfondir encore plus notre échange, j’entends des gens parler, rire, et vu les rires ils doivent pas être très nets ceux là … Mais par prudence, je me décolle de Gabriel, même si la nuit qui est tombée nous cacche dans son obscur manteau. Ma main sur la taille de Gabriel n’a pas bougé, mon regard se plonge dans le sien alors que les voix et les rires s’éloignent de plus en plus, jusqu’à ce que le silence revienne. Je n’entends plus que nos respirations. Je ne sais pas comment Gabriel va réagir, et ça me fait peur… Je devrais peut être dire quelque chose ? Oui mais… quoi ? Je dois dire quoi ?



_Désolé…j’avais imaginé mieux comme premier baiser…



Dis je en baissant de nouveau la tête. C’est pas possible comme il m’intimide ce mec !

Oui, tu me fascinais. tu n'étais pas comme les autres, tu était plus, pas seulement parce que tu venais du futur. mais ton regard refletait une infinie douceur, quelque chose que je n'ai encore jamais vue. personne ne m'avais encore regarder de la sorte. Tes yeux, à eux seuls avait la capacité d'envouté mon âme.
J'avais essayer de t'embrasser enfin j'avais plutôt voulu te donner se baiser. Mais la nuit était tombée et Jocaste paniqué tout seule donc elle poussa un hénnissement stridant qui me fit tourné la tête en sa direction, j'avais même voulu me lever, ça m'aurais permis de ne pas faire une énorme bêtise. Mon corps fut alors parcouru de frisson alors que ta main douce et chaude venait ses poser contre ma joue glacée. Tu me fit lentement tourner la tête. Là encore, ton regard, ce regard si beau si attirant. Tu commençais à t'approcher de mon visage, mon coeur battait comme jamais il n'a battu. Mais main tremblais légèrement sur ta cuisse. lorsque je senti ton souffle sur mes lèvres, j'eus l'impression de perdre complétement la tête j'étais hypnotisé alors que nos nez s'effleurèrent avec tendresse. Mon corps brule de désir d'un désir bien plus que charnel. mes yeux sont mi clos et à bouche légèrement entre ouverte. J'hume ton parfum qui réveillait en moi c fameux désir que je ne me connaissait absolument pas avant de te connaitre. C'est alors que nos lèvres se touchèrent enfin . je ne pus m'empêcher d'émettre un léger gémissement satisfait et conquis, alors que ma main gauche glisse avec légèreté sur ton buste massif. Tu fut sur le point de prolongé et d'approfondir cette échange remplis de tendresse car je sentait ta langue toute timide qu'elle soit caresser avec habilité mes lèvres devenues cellée depuis l'instant ou nous avons commencé notre échange.

Mais des hommes ayant sans doute un peu abusé du bon vin et de la charmante compagnie que procure les douce femmes de la ville me firent sursauté et cela me ramena également à la réalité. je m'écartais en me rendant compte de la terrible erreur que j'ai commise je te faisais tant espère tu me donnant tant t moi je suis incapable de te donner la moindre petite chose.. je me signai d'un geste rapide. N'oublions pas que l'union d'un même sexe et un pêché contre notre dieu et . je en sais pas ce qu'il se passe dans le futur, mais ici la religion est partout. c'est comme cela, on prie au moins cinq fois pas jour. et on se signe dès que l'on fait un erreur ou que l'on a peur.. Moi c'était les deux. Et je vous assure que je ne suis pas l'un des meilleure chrétien de ce royaume. j t'entendis alors me murmurer quelques parole à l'oreille lorsque les hommes s'étaient un peu éloigné. je posai deux doigt sur tes lèvres pour te faire taire.



-Chut pas pitié ne gâche pas cet instant féerique avec des paroles inutiles. Car toi et moi savons parfaitement qu'il n'y en aura pas d'autre


Dis-je d'une voix faible et surtout triste avant de poser un chaste baiser sur tes lèvres C'était comme une sorte d'adieu en fait. Car juste après je me levai pour courir en direction de Jocaste et ainsi disparaitre à ta vue dans la nuit qui maintenant, maintenant que je n'était lus contre toi me paraissait glaciale. Tua sans doute entendu ma monture galopé dans les pleine et s'éloigner pour se rapprocher de là cité ou se trouvais mon palais. ou plutôt le palais du roi dans lequel j'avais élu résidence. Si tu savais comme je t'ai attendu, toi, mon amour....