Hampton Court
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 Six mois loin de toi

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Six mois loin de toi Vide
MessageSujet: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeVen 19 Mar - 13:31

Cette scène se déroule exactement six mois après notre notre rencontre dans les verts paturages à l'extérieur de Londres. Six long mois après notre premier baiser. Depuis six mois je passe mes soirée à la fenêtre dans l'espoir de t'apercevoir dans les jardin, mais je finis toujours par aller me coucher avec le simple souvenir de ton visage. Pourtant je sais que tu es là car au fils des mois tu m'a fait parvenir des présents magnifique, en été ce fut des fleurs au automne des marrons chauds l'un de mes pécher mignon Tu m'a même envoyé un espèce d'horloge à mettre autours du poignet un objet très futuriste à mon avis. Le printemps revenait doucement sur la belle Angleterre. Et la température remontait. Mais le duc de Soffolk, depuis quelque semaines à de nouvelles envies. les femmes de son harem de lui convienne plus, il veux autre chose, moi. Je lui ai plusieur fois refuser mon lit je souhaite secretement que mon lit ne soi ouvert qu'a une seul personne et que ma virginité soit offerte à cette même personne. N'étant pas le roi, cet homme n'a aucun droit sur moi.

Durant un douce après-midi du mois de mars Le roi ainsi que le duc se rendirent à Whitehall, le roi pour goûté au charmante femme que j'entretenais pour lui et le duc pour continue à me faire une coure empressée. Comme à notre habitude nous étions dans mes appartement privé. En attendant sa majesté car après notre petite tradition veux que nous fassions une partie de carte avant qu'ils ne s'en aillent. J'était debout devant la grande fenêtre en regardais les arbre bourjonner alors que le duc vin derrnière moi, posa une main sur mon pubis, une autre sur ma gorge il commança à humer mon parfum pour a déposer de léger baiser sur ma nuque et mon cou. Il détacha ensuite le ruban qui tenait mes cheveux pour passer un main dedans



    Duc de Soffolk – Si vous saviez marquis comme vous êtes désirable

    Gabriel Campton – Pensez donc mais il serais bie ennuiyeux que vous em fassiez l'amour et que la roi arrive en cet instant ne pensez vous pas ?

    Duc de Soffolk – Je l'avoue mais je ne peu plus tenir, je vous aime

    Gabriel Campton – Oui vous pouvez aimer. un an, un mois...une heure, mais après cette heure écoulée vous en aimé une autre et encore une autre.

    Duc de Soffolk – Gabriel...que voulez-vous dire

    Gabriel Campton – Nous jouer pas à l'idiot Charles cela ne sous sier guère !



Dis-je en me détachant de lui Avant d'aller vers la cheminée. Nous avions attendu le roi en silence et quand celui-ci arriva l'air contant nous débutâmes notre partie de carte comme à l'accoutumée. Alors que j'était sur le point de remporter la victoire, comme très souvent, car je suis un homme bien plus stratégique et plus réfléchit que sa majesté et le duc qui eux son beaucoup plus ..."muscle" je je puis dire, mon maitre d'hôtel m'indiqua qu'un "vagabon" demandais l'asile pour la nuit Je m'appretait à répondre par la na négative car je savais au fond de moi que cela ne pouvais être que toi tu a déjà tenter d'entrer ici, mais le roi me coupa la parole


    Henry VIII – Il est normal qu'un pauvre homme est droit au gîte et au couvert ici, dans mon royaume. Par contre il devra rester en cuisine je ne veux pas que mes douces colombe soient salie par un moins que rien. N'est pas monsieur York ?!

    Gabriel Campton – Evidemment ne laissons pas un pauvre malheureux dans la misère



Dis-je avec un sourire qui cachait une grande peur. je remportai à nouveau la partie et mes hôtes s'en allèrent à la tombée de la nuit. Une domésique me demanda si je désirais un repas je lui dit que non, que je m'en passerai se soir. Je pris alors un livres dans mon étagèrent et m'assis près de la fenêtre pour le lire. Deux heures plus tard je dégaffais mon gilet me retrouvant en simple chemise puis décidai de descendre dans les cuisines mais avait même que je puis prendre un chandelier l'on frappa à ma porte. le coeur battant j'allai ouvrir et je tombais sur ...toi.


    Gabriel Campton – Si tu savais comme tu m'as manqué...
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MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeVen 19 Mar - 18:09

    Six mois, six longs mois que je n’ai pas entendu le son de ta voix, six longs mois que ton regard ne m’a pas caressé ne serait ce qu’une toute petite seconde. Mais moi, je t’ai vu, des milliers de fois, sans que tu t’en rendes compte. Sans que tu le saches, j’ai pu observer ton visage dans les moindres détails, sans que tu le saches, j’étais près de toi. Je surveillais au grain chacune de tes sorties, en priant pour que tu sois seul, mais tu étais toujours accompagné de quelqu’un, à cheval ou à pied. J’étais toujours assez éloigné de toi, pour ne pas prendre le risque que tu me vois, et de ce fait je n’entendais pas ta voix. Je cherchais par tous les moyens à te contacter, mais toutes mes tentatives échouaient lamentablement. Mais je n’ai jamais perdu espoir, même si tous ces échecs me faisaient mal, je continuais d’espérer que je pourrais à nouveau te voir. Les derniers mots que tu m’avais jeté il y a six mois m’ont vraiment effrayé, je ne voulais pas que ça se termine comme ça, je savais qu’on pouvait construire quelque chose tous les deux, même si l’on devait se cacher, je sais qu’on peut le faire. Et puis on dit souvent que pour vivre heureux il faut vivre caché, alors pourquoi est ce qu’on ne suivrait pas ce proverbe ? Tu es la seule raison que me garde dans cette putain d’époque, si je ne t’avais pas rencontré, j’aurais certainement harcelé mon frère pour qu’il trouve une solution, j’aurais fait une dépression et j’aurais finit par mettre fin à mes jours sans plus de cérémonie. Alors, tout au long de ces six mois je t’ai fais envoyer des cadeaux, pour que tu ne m’oublies pas, pour que tu continue de penser un peu à moi. J’avais trouvé un petit emploi en temps que maréchal ferrant, ou plutôt, apprentis. Mais il ne me faisait pas tellement travailler, je travaillais seulement deux ou trois jours par semaine, je m’occupais des chevaux et j’apprenais un peu le métier. Mais c’est tout. Tu hantais mes pensées. Quand je fermais mes yeux pour me reposer, ton visage m’apparaissait derrière mes paupières closes. Quand je rêvais, tu étais toujours présent dans mes rêves. Tu étais là, si proche de moi, et je ne pouvais te toucher, je tendais la main devant moi et tu reculais, en me souriant, de ce sourire qui m’avait fait tomber sous ton charme, ce sourire que tu savais si bien faire. Parfois, je revoyais notre seul et unique baiser, je revivais la scène dans les moindres détails, ton souffle chaud sur mes lèvres, ta main sur mon torse, la mienne sous tes cheveux, la douceur de tes lèvres contre les miennes. Et quand je me réveillais, je ne pouvais m’empêcher de verser une larme, mon cœur me faisait mal en repensant à ça, mais je refoulais tout au fond de moi.



    Mais aujourd’hui, je sentais que ça allait être différent. Comme tous les jours, je partis voir si le maréchal avait besoin de moi, mais il me dit d’aller gambader ailleurs aujourd’hui. Alors je partis comme une furie vers le château, priant intérieurement comme un fou pour que tu sortes, seul. Mais à la place, je vis deux hommes entrer. Je sentais que ce n’était pas pour tout de suite, mais quelque chose me disait que ce n’était pas finit. Alors j’écoutais mon instinct, et décida de continuer à tenter n’importe quoi aujourd’hui. Dans l’après midi, j’arrive enfin à avoir une ouverture. Je vais être obligé de passer pour un mendiant, tant pis, si c’est pour avoir une chance de te voir je ferais n’importe quoi. J’étais vraiment prêt à tout pour toi. Alors que je traînais autour du château, je vis un domestique que j’avais déjà vu les jours précédents. Je me souviens qu’une fois, il a y bien plus longtemps que six mois, il avait fait rentré un homme demandant l’asile pour un soir. Je me demande pourquoi je n’ai pas essayé avant mais bon… Je m’avance vers lui, en ayant pris soin de m’arranger de telle manière qu’on ait l’impression que je sois un voyageur perdu. J’invente donc un gros bobard au mec, lui racontant comme quoi j’ai perdu ma route et que je me suis retrouvé ici, sans argent pour me payer une chambre. Et à mon grand soulagement, il accepte de me faire rentrer, en me disant que je devrais loger en cuisine. Pas de problème mon vieux, parce que dès que tu auras le dos tourné, compte sur moi pour aller rendre une petite visite à ton maître…



    [ … ]



    J’ai passé le reste de l’après midi dans un coin, dans les cuisines, sans me faire remarqué. J’étais seul, la plupart du temps, les serviteurs n’étaient peut être pas de service ce soir. J’entendis des bruits de couloirs et devina que deux hommes s’en allaient, certainement ceux qui étaient arrivés plus tôt dans la journée. Maintenant, c’est à moi d’agir. Je vais devoir faire vite pour trouver ta chambre, mais j’y arriverais. Les quelques domestiques qui sont passés nettoyer ont discuté et j’ai réussi à comprendre où ce situait à peu près ta chambre. Il fallait seulement que je fasse vite et que je ne me fasse pas repérer, sinon j’allais être très vite démasqué. Mais heureusement pour moi, je ne rencontrai pas de problèmes, seulement quelques domestiques dans les couloirs, mais j’arrivais facilement à me cacher derrière des meubles ou dans un placard une fois. Et j’arrive enfin devant ta chambre. Le couloir n’est pas très éclairé, il fait nuit noire dehors et plus aucun domestique ne doit traîner dans les couloirs à une heure pareille. Je prends une grande inspiration avant de frapper doucement. Si tu me rejettes, je saurais quoi dire, mais si tu ne me rejettes pas… je ne sais pas. Peut être que je t’embrasserais ? Ou que je te serrerais dans mes bras. Je n’ai pas le temps de réfléchir plus longtemps que je vois la porte s’ouvrir et que je te vois toi. Mon cœur s’emballe, comme à chaque fois que je suis trop près de toi. Tu n’as pas changé, tu es juste encore plus beau qu’avant. Je sens mon cœur s’arrêter lorsque tu me dis que je t’ai manqué. Alors, tu ne me rejettes pas ? J’arrive à peine à en croire mes oreilles. Pris par je ne sais quel courage, je te pousse doucement pour te faire reculer et pouvoir refermer la porte derrière nous, pour qu’on ne soit plus que tous les deux dans ta chambre, à l’abri de tous les regards.



    _ J’ai cru mourir pendant tout ce temps sans toi Gabriel.



    Sans plus réfléchir à mes gestes, je me rapproche de toi, posant mes mains sur ta taille et penche mon visage vers le tient pour pouvoir sceller mes lèvres aux tiennes, aussi doucement et lentement qu’il y a six mois, dans cette campagne où on s’était retrouvé seuls, où tu avais tenté de m’embrasser, où j’avais franchis cette barrière qui me faisait peur.
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MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeVen 19 Mar - 20:06

Le duc de Soffolk était certes un homme charmant mais je ne connaissait que trop bien sa réputation . Lui ce qu'il dérire ce sont des relation charnels et moi...j'en veux d'avantage, je veux de l'amour. Une véritable histoire d'amour. je prie tous les jour pour que tu me revienne mais en même temps je le supplie de me pardonner cette attirance que je ne peu tout simplement pas contrôler. Aujourd'hui le duc tenta une énième fois de me mettre dans son lit ou plutôt de me soumettre dans le miens mais je reste de marbre seul toi pourra me faire fléchir quand il s'agit de sexe et je pense même que si un jours tu te retrouve ici, dans cette chambre c'est moi qui te monterais. enfin en théorie, dans la pratique cela risque d'être au peu différant. je dominerais qu'en apparence xD Car je en te vois vraiment pas de faire soumettre par quelqu'un comme moi d'autant plus que moi je ne me vois pas soumettre un homme comme toi, Enfin bon toutes ses pensées commence à me donner chaud, je décide donc je me concentrer sur autre chose. Lorsque le rois à terminer de faire joujou avec ses magnifique créatures il nous rejoint dans mes appartements privé qui englobe un salon une chambre et une salle à manger ainsi qu'un salle de bain. Nous commençons un parie de carte que je gagne sans peine. J'avoue que sa majesté n'ai pas très futée et que le duc manque un peu de jugeotte. Mais cela fait du bien de gagner alors je ne dit rien et je fait un simple sourire satisfait avant d'empocher l'argent mis en jeu.

[...]

trois ou quatre heures plus tard la nuit est tombée. Il fait bien sombre dans ma chambre même avec les trois chandeliers à quatre ou six bras la nuit et bel et bien là et cela me déplait. Je me sens opressé. je décide donc je sortir de mon cercle privé pour me rendre en cuisine ou un vagabon à élu domicile pour la nuit. je sens que c'est toi c'est un prés sentiment qui me fait retrouver l'excitation que j'avais eus le joue ou tu m'as embrasser sous ce grand chêne.. je m'appréttait à prendre un chandelier pour descendre mais quelqu'un frappe à la porte. normalement lorsque c'est l'un de mes doméstique ils entrent directement après. Donc tout me laisse à penser que c'est toi.


    Jordan Brandon
    – J'ai cru mourir pendant tout ce temps sans toi Gabriel

    Gabriel Campton
    – Embrasse moi...mon amour



C'était simple est directe. Tu me fait reculer en entrant et me prend par les hanche tu remontes une main délicate dans mon dos alors que tes lèvres vinrent caresser les miennes. Il fut d'abord tendre. Mais pour moi cela faisait bien trop longtemps que tu ne m'avais plus touché. mes deux main vinrent de logé dans ton cou alors que j'approfondissais amoureusement notre échange. J'avais le dos contre le baladaquin de mon lit.


    Gabriel Campton – Si tu savais depuis combien de temps je t'attends mais j'avoue ne pas avoir imaginer que mon âmes soeur puisse prendre une forme aussi....parfaite



Murmurais-je avant de passer mes deux bras autours de ta nuque et en me mettant sur la pointe des pied pour t'embrasser à nouveau beaucoup plus passionnément qu'avant. Je descendis ensuite un mains sur ton bassin et ensuite quelques instant plus tard l'autre la suivis dans sa cours et se retrouva de l'autre côté.
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Six mois loin de toi Vide
MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeSam 20 Mar - 23:34

    "Mon amour", c'est le surnom qu'il m'a donné en me suppliant carrément de l'embrasser. Bon il ne m'a pas supplié, mais son ton était suppliant. D'habitude, mes petites copines me donnaient toutes ce surnom, et je trouvais ça complètement débile. Pourquoi elles m'appelaient comme ça alors qu'elles savaient qu'entre elles et moi c'était seulement pour une nuit ? Alors au fil des conquêtes, j'ai appris à détester ce surnom, surtout lorsque c'est ma dernière ex' en liste qui me le donnait. Quand je l'entendais me le chuchoter, j'en avais des frissons de dégoût total. Et quand je grimaçais un peu, elles trouvait ça "adorable" et "vraiment troop chou et trop mignooon !". Moi je trouvais ça pathétique et affreusement ridicule. Et encore aujourd'hui quand parfois je la croise, elle tente de se jette sur moi en hurlant ce surnom qui, dans sa bouche de sorcière, me répugne totalement. Mais quand Gabriel l'a prononcé, j'ai eu un frisson oui, mais un frisson agréable et mon coeur est allé en battant encore plus vite. Ensuite, j'ai pas résisté, j'ai fondu sur ses lèvres sans attendre plus longtemps. J'avais l'impression d'être en manque total de lui. En m'avançant vers lui, j'ai fermé la porte derrière moi, j'ai plaqué mes lèvres sur les siennes, doucement, pour profiter de chaque secondes, et je l'ai fait reculer jusqu'à ce que son dos se retrouve contre son lit. J'ai glissé mes mains dans son dos, le serrant au maximum contre moi, lui avait ses mains dans mon cou. Il a approfondi notre baiser, le rendant encore plus...agréable ? Sensuel ? Peut être tout à la fois. J'ai pas pu m'empêcher de gémir doucement. Après notre baiser, il me complimente en me disant qu'il n'avait jamais imaginé que son ame soeur soit aussi parfaite. Je sens mes joues chauffer, signe que je dois devenir aussi rouge qu'une tomate. Mais avant que je n'ai pu répondre, Gabriel m'embrasse à nouveau. Je ferme les yeux, profitant au plus possible de ce nouveau baiser, ne faisant que ressentir. J'oublie tout autour de nous, je ne sens que lui contre moi, je sens les battements de son coeur tellement on est collé l'un à l'autre. C'est comme si...je ne pouvais plus le lâcher. Non, je ne peux plus le lâcher, j'ai besoin de sentir sa chaleur contre moi, sentir son parfum délicat. J'eus un bref sursaut lorsque je sentis ses mains se poser assez bas sur mon corps. Malgré le fait que je sois totalement amoureux de lui, j'ai peur. J'ai peur pour je ne sais quelle raison. Peut être qu'il m'abandonne un jour, comme ça sans rien me dire, sans même me donner une explication. J'ai peur qu'il me rejette si jamais je fais un simple faux pas. Et malré cette peur, je profite de l'instant présent, je profite de sentir ses mains sur moi, je profite de pouvoir l'embrasser après six longs mois sans pouvoir le toucher, l'effleurer, l'approcher, l'entendre. Alors que notre baiser cesse à nouveau, je plonge mon regard dans le sien.

    _ Si tu crois que moi je m'attendais à tomber sous le charme d'un homme que jamais je n'aurais pu rencontrer dans l'époque où je devrais normalement vivre... Putain Gabriel tu m'as trop manqué ! Ca a été une véritable torture de te voir sans pouvoir t'approcher, entendre ta voix, ou même sentir ton regard sur moi...j'ai faillit craquer.

    J'ai pas vraiment l'habitude d'ouvrir mon coeur comme ça, de déballer aussi facilement mes sentiments à quelqu'un, parce que je suis moi même une personne très réservée, solitaire. Je peux me passer de la présence de n'importe qui, sauf de la sienne. Je caresse son visage une dernière fois avant d'aller tirer les rideaux de la fenêtre, pour être certain que personne ne nous voit. Puis j'ai fermé la porte à clef, pour qu'on ne soit pas surpris. Je veux juste que éviter que Gabriel ait des ennuis par ma faute. Je reviens ensuite vers lui, posant mes mains dans le bas de son dos, enfouissant mon visage dans son cou où je m'imprègne de son parfum, déposant quelques baisers du bout de mes lèvres sur sa peau. J'hésite un peu à aller plus loin, je ne veux pas que ça aille trop vite, mais six mois sans un seul contact...c'est dur ! J'ai envie de le toucher, d'embrasser tout son corps, de caresser chaque parcelle de sa peau si douce. Mes lèvres remontent jusqu'à son oreille dont je mordille doucement le lobe avant de lui murmurer :

    _ Je peux plus me passer de toi Gabriel... Je sais que c'est interdit pour toi, mais c'est plus fort que moi...
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MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeDim 21 Mar - 2:37

Le surnom était venu tout seul en fait cela était si naturel pour moi il était clair qu'il s'agissait de mon amour la façon dont il m'a manqué dont mon coeur a explosé lorsque j'ai enfin revu son regard de braise. Lorsqu'il entra et passa ses bras autours de ma taille je me cambrai en posant mains du main sur ses épaule. il avait refermer le gros battant de la porte et là débuta un baiser tendre et amoureux qui se transforma en baiser fougueux et passionné. Oh mon dieu comme c'était bon. Je t'entendis gémir légèrement contre mes lèvre je te serrai alors davantage contre moi pour rendre cet échange encore plus intime. je reculai un peu, encore et encore et fini pare avoir le dos collé à l'armature de mon lit. Nos lèvres ses séparèrent juste le temps pour moi de reprendre mon souffle et de t'avouer avec toute ma sincerité que je t'aime. Mais de façon moins direct. Dans l'époque ou je vis dire "je t'aime" c'est abrupt cela ne se fait pas a moins de vraiment bien connaitre la personne. Mais après mon aveu je en te laisse pas répondre je t'embrasse a nouveau c'est dingue comme se contacte est important pour moi, il est si magique jamais je n'aurais cru que l'amour véritable puisse être si fort, si ardant et si violant.


    Jordan Brandon
    – Si tu crois que moi je m'attendais à tomber sous le charme d'un homme que jamais je n'aurais pu rencontrer dans l'époque où je devrais normalement vivre... Putain Gabriel tu m'as trop manqué ! Ca a été une véritable torture de te voir sans pouvoir t'approcher, entendre ta voix, ou même sentir ton regard sur moi...j'ai faillit craquer.



J'eus un petit rire a tes première phrases il est vrai que cela semple irréaliste. Mais le reste me toucha profondément personne ne m'a jamais aimé de la sorte, on ma aimé parce que j'étais beau et parce que j'étais désirable. Mais jamais personne ne m'a dit que ma voix était belle ni le besoin de sentir mon regard sur lui. Je me rend compte alors à quel point tu me mérite. et cela me donne quelque idée pour la suite de la soirée, de la nuit plutôt. Je m'approche de lui lorsqu'il venait d'aller tirer les gros rideau de velours et de fermer la porte à clé je posais mes main sur son torse pour t'embrasser avec une tendresse infinie.


    Gabriel Campton – Sois en sûr mon bien aimé mon amour t'appartiendra jusqu'a ma disparition.



Dis-je avant de doucement me détacher de ton étreinte pour m'assoir sur mon lit que mes femmes de chambre avaient défait quelques instant lus tôt. Je détachait la cordelette qui nouait le colle de ma chemise et celle-ci s'ouvrit jusqu'au milieu de mon torse à peu près. Je me relevais mais je n'eus pas besoin de faire un pas vers toi, tu me pris déjà par les hanche en venant m'embrasser dans le cou. Je te sentait parfaitement retenir tes désir à mon endroit. je me mordis la lèvre inférieur en étirant le cou pour que tu ai plus de facilité.


    Jordan Brandon – Je peux plus me passer de toi Gabriel... Je sais que c'est interdit pour toi, mais c'est plus fort que moi...

    Gabriel Campton – Je le sais, sinon tu ne serais pas ici.



je caressai alors sa joue avant de coller mon front au sien. Après un instant de réfléction. je passai mes deux main sous ta "chemise du futur" et te la retira. Ouaw, tu était bien fait quand même J'eus quelque frisson. bon oui je t'es déjà vu torse nu il y a six mois, mais cela me touchai moins que maintenant. je te caresse les épaule, le torse puis le ventre sans rien dire de plus. Oui j'étais décider, je savais que seul toi aura mon corps. Mais je me rend alors secrétement compte que mon enfant ne peu venir que de toi et que donc c'est pour te protégé que je meurs. je suis heureux du coup. Mais je ne dirais rien cela gâcherait sans doute cet instant de bonheur.


    Gabriel Campton – J'ai attendus depuis longtemps la personne a qui j'appartiendrais entièrement et au fond de moi je sais que c'est toi. Accepterais-tu de m'aimer sur tous les plans ?


C'était une manière de dire accepte tu de me faire l'amour se soir xD Seulement moi je suis subtile dans mes paroles. je m'assois sur mon lit en attendant un réponse de ta parts.
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MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeLun 22 Mar - 18:20



    En entrant, j’ai hésité à lui donner un surnom moi aussi, du style ‘mon ange’. Quand ce fut lui qui m’en donna un, je me sentis tellement heureux… Jamais je n’ai ressentit tout ça en moi, c’est drôle… J’ai des papillons dans le ventre, j’ai le cœur qui bat fort, et je dois avoir les joues rouges aussi ! Et puis maintenant que je le tiens dans mes bras, je me sens bien, entier. Comme si avec lui, je retrouvais une partie de moi que j’avais perdu. En faite, j’ai juste retrouvé la moitié manquante de mon cœur, cette moitié qui partagerait le même amour avec moi. C’est lui cette moitié, et je ne le regrette pas, non, bien au contraire ! Je préfère que ce soit lui plutôt qu’une fille complètement stupide avec une desquelles j’ai pu passer une simple nuit. Une fille que je prenais pour ‘jouer’. Ses baisers, je ne peux plus m’en passer. En six mois, je n’ai pu oublier le goût de ses lèvres et leur douceur, je ne pourrais jamais l’oublier, non jamais. Et les retrouver cette nuit me fait un bien fou. Je désire tellement son corps… Mais je sais que c’est un jeu dangereux auquel je joue, un jeu où ce sont nos vies qui sont jouées, surtout la sienne. Mais je ne veux pas penser à ça maintenant, je ne veux pas gâcher nos retrouvailles en abordant ce sujet délicat. Mais je n’ai pas dit mon dernier mot, je ne lâcherais pas l’affaire, il en est hors de question.

    Juste avant que je ne vienne l’embrasser dans le cou, il avait détaché en partie sa chemise, mais je n’ai pas osé poser mon regard sur la partie de son corps que je pouvais voir, je ne veux pas être tenté, je veux juste pouvoir passer la nuit dans ses bras, car je sais que, demain avant l’aube, je devrais m’en aller pour ne pas avoir de problèmes, et je sais que je ne risque pas de revoir Gabriel avant un moment. Je veux profiter de ses bras et de ses lèvres, c’est tout. Alors que je m’amusais à embrasser son cou et cette peau si douce et tentante, Gabriel s’écarte doucement, caressant ma joue et collant son front au sien. Un instant passe ainsi, durant lequel je me contente seulement de plonger mon regard dans le sien, de profiter de l’intensité de son regard. Puis, sans rien dire d’autre, il me retire mon T-shirt, ses mains posées sur mes épaules descendent sur mon torse et mon ventre. Un violent frisson s’empare de moi sous ses caresses. Jamais je n’aurais imaginé ressentir un frisson si violent sous le toucher de quelqu’un. Je ne savais même pas qu’une sensation pareille existait et j’étais loin de me douter que ça faisait autant de bien. Je suis totalement accro à lui, je l’aime comme je n’ai jamais aimé personne et comme personne ne pourra l’aimer, personne ne pourra lui donner autant d’amour que moi je lui en donne. C’est tout simplement impossible que quelqu’un l’aime plus que moi. De toute façon, je ne laisserais personne d’autre que moi l’approcher et pouvoir goûter au fruit défendu que sont ses lèvres. Je suis quelqu’un de très possessif, quelqu’un d’égoïste. Mais je suis comme ça et j’ai décidé que personne à part moi n’aurait Gabriel. J’allais l’embrasser à nouveau mais il me coupe dans mon élan en prenant la parole. Je prends une minute à décrypter ses mots. On ne vient pas de la même époque, alors pour moi c’est parfois difficile de comprendre ce qu’il veut me dire. Mais au final, je comprends. Je devine ce qu’il veut ce moi cette nuit. Je le regarde s’asseoir sur le lit. Je passe une main sur mon front. Oui je suis stressé, mais en venant ici je ne pensais pas qu’on passerait à l’action. Même si six mois se sont écoulés depuis notre premier baiser, je pensais qu’on attendrait peut être encore un peu avant de franchir ce pas. Voyant que Gabriel attend une réponse depuis quelques minutes, je décide enfin de réagir. Je viens m’asseoir à ses côtés, en posant une main sur sa cuisse et en tournant son visage vers le mien pour que je puisse l’embrasser chastement. Puis je plonge mon regard dans le sien, sans pouvoir empêcher mes joues de prendre une vive teinte rouge.



    _ Ecoute Gabriel, je suis pas contre pour qu’on… enfin pour qu’on couche ensemble mais… J’ai jamais rien fait avec un homme…



    Avouais-je en baissant la tête. Je peux dire qu’avec les filles je suis un professionnel, mais avec un homme, je n’ai vraiment aucune expérience. Et avant même que Gabriel ait pu répondre, je reprends, toujours aussi gêné.



    _ Je…j’ai pas envie de… de te faire mal ou…de mal m’y prendre… J’ai peur de mal faire et que tu n’aimes pas…
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MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeLun 22 Mar - 18:24

Six mois pur moi c'est en quelque sort six mois d'abstinence Car mais si je me suis enfuit de cette prairie j'étais déjà a toi, si je ne l'était pas je n'aurais pas défendu le duc de Soffolk de goûté au plaisir charnel avec moi. Apès tou ile st très séduisant. mais il n'y a que toi qui puisse avoir le droit de m'aimer . Il est bien vrai que je risque beaucoup mais Je trouve que ça en veut la peine et il est vrai que je n'ai pas envie mais alors pas du tout envie de parler de ça maintenant sachant qu'il partira demain sans même me réveillé et qu'après...non, mais non il ne partira pas ! bien sûr que non je viens de me rendre compte que mon valet celui qui m'accompagne partout et qui me protège viens de se faire jeter en prison pour adultaire avec les compagnes du roi, il sera sans doute executé d'ici quelques semaine. Encore une mise à mort à laquelle je devrais assisté. mais cela signifie qu'il me manque un valet. Et le roi me fait assez confiance pour que je le choisisse. ça sera toi.Mon ancien doméstique avait même un couche dans ma chambre au cas ou quelqu'un tenterais de m'assassiné durant mon sommeil. Cela convieindrait parfaitement.En plus qui saurai le mieux me protéger que toi mais en même temps je reste ton maître d'un point de vue juridique donc tu me devra obéissance et si tu ne le fait pas et que ça a avoir avec quelque chose qui n'ai pas négociable je te ferais interné même si ça me fait mal au coeur de l'imaginer.

Je ne comprend pas pourquoi tu prend autant de temps pour me répondre je pourrais m'en offuscer car je m'offre a toi tel une rose qui éclos dès que le soleil la caresse de ses rayon. Ce serais pire qu'humiliant si tu me refusait et j'avoue ne pas encore savoir comment je pourrais réagir si tu ne voulais m'aimer que sur le plan des paroles. Ce que tu me dit me fait doucement sourire Personne encore n'osait dire cela ce n'était pas dans les meurs l'amour, l'acte en lui même les homme se fichait pas mal de faire tu mal à son ou sa partenaire. J'étais touché que tu t'en inquiéte.. je caressais ta joue avec tendresse avant de t'allonger sur le lit je nous recouvrai un peu, Non, croyez le ou non je n'avais aucune pensée malsaines.


Gabriel Campton – Sais-tu que j'ai toujours rêvé voyager ?


Dis-je en posant un doigt léger sur le sommet de ta tête. je me tenais sur un coude juste au dessus de toi et de ton regard


Gabriel Campton – je traverserai les sillon noirs des cheveux pour arriver sur la mers calme de front mon équipage devra faire attention de ne pas tomber dans les flaques sombre des yeux car on pourrait si noyé. Puis nous arriverions au premier merridien, le nez de la nous y verrions le monde et ses merveilles. Nous continuerions notre route et notre bateau s'échouerait au borde de la bai des milles désir, les lèvres, si belles et envoutante que peu de monde a réussit à s'en défaire. Puis le menton serai notre prochaine découverte nous reions un descente dans le cou puis une remonté sur e torse massif sur lequel nos voguerions jusqu'a notre arrivée au nombril. Là je saurais que nous comme bientôt arrivé la ou aucun autre explorateur n'ai venu. Nous descendrions et nous finirons par accosté à la pointe des mille envies ou je finirais mon voyage car c'est uniquement là bas que je veux me rendre.


En parlant j'avais fait avancé deux de mes doit sur toutes les partie du corps que j'ai citée. la dernière je en la touai pas je l'ai juste effleurée a travers ton pantalon
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MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeLun 22 Mar - 18:32

    Avant lui, toutes les partenaires que j’ai pu avoir, je me foutais un peu de ce qu’elles pouvaient ressentir durant l’action, tout ce qui comptait c’était mon plaisir et rien d’autre. D’ailleurs, à chaque fois que je finissais, j’avais à peine reprit mon souffle que je partais prendre une douche, même à trois ou quatre heures du matin. Je ne supportais pas d’avoir l’odeur d’une de ces filles sur moi, et encore moi de dormir tout contre elle. Généralement, quand je sortais de la salle de bains, la fille était assez intelligente pour comprendre qu’elle devait partir. Sauf la dernière. Mon ex’, celle qui pense que je vais la demander en mariage et lui faire des gosses. Elle, dès la première nuit, elle n’est pas partie, et le lendemain et les jours suivants non plus. Jusqu’au jour où je n’ai plus supporté de la voir venir vers moi en courant et en hurlant à qui voulait l’entendre « mon amouuuur ! ». Ahhh, ça me répugnait. Et un jour lorsqu’elle s’est jetée sur moi, je l’ai repoussé. Bon pas très fort, mais assez pour qu’elle finisse le cul par terre. Je l’ai humiliée en public comme elle l’avait fait pour moi avec tous ses surnoms débiles et pathétiques.

    Après avoir avoué à Gabriel mes craintes mais que surtout ce serait ma première fois avec un homme, il a eut un petit rire. J’crois qu’il doit un peu se foutre de moi… M’enfin pas grave. De toute façon, je fais toujours des gaffes qui font qu’on se fout très souvent de ma gueule, parfois parce que je me suis rétamé par terre, parfois parce que ma langue a fourché et que j’ai inversé deux mots dans une phrase, ou bien parfois parce que je suis tellement maladroit et dans la lune que je suis passé à côté de quelque chose ou que j’ai fais tomber un objet. Avec moi, y a toujours une raison pour qu’on se foute de moi. J’ai pris l’habitude avec le temps, mais venant de Gabriel c’est…pas comme toutes ces moqueries que j’ai pu recevoir. Ce n’est pas vexant non plus mais bon. Je sais pas comment dire en faite, je ne trouve pas les mots justes pour l’expliquer et ça m’énerve un peu. Je sens alors sa main me caresser la joue puis lorsque je lève la tête vers lui, il m’allonge sur le lit, nous recouvrant légèrement d’une couverture. Je frissonne, pas très rassuré de l’idée qu’il pourrait avoir derrière la tête, mais au lieu de me jouer un vrai mauvais tour, il fait glisser un de ses doigts de mon front jusqu’à mon bas ventre, en récitant un poème qui me fait comprendre qu’il n’a pas envie qu’on fasse une partie de cartes ce soir. Et qu’il attend de moi que je lui fasse l’amour. Ouais mais si il n’a pas compris, moi je suis mort de trouille c’est tout ! Bon tant pis Jordan, tu prends sur toi et au pire tu improvise le moment venu. J’expire un coup avant de poser une main sur la taille de Gabriel, l’autre dans sa nuque pour attirer son visage vers le mien pour pouvoir l’embrasser passionnément. J’adore ces baisers, je ne m’en lasserais jamais. Mais je crois que je l’ai déjà dit ça non ? Durant notre baiser, je glisse timidement ma main vers sa chemise à moitié ouverte sur son torse. Timidement, je la glisse sur sa peau nue mais je n’ose pas encore aller plus loin. Ma main ne bouge plus alors que l’on continue de s’embrasser tout aussi passionnément. Finalement, je finis de lui déboutonner son vêtement. Notre baiser cesse et, tout en plongeant mes yeux dans les siens, je lui retire sa chemise. Je le vois torse nu, légèrement surélever par rapport à moi. Mes joues deviennent rouges et je tourne immédiatement la tête, jusqu’à ce que je sente ses doigts tourner à nouveau mon visage vers le sien. J’ai l’impression qu’avec lui je vais avoir ma première fois, alors que j’ai couché avec une fille pour la première fois lorsque j’avais à peine 14 ans. Je reprends à nouveau sur moi et me relève un peu pour pouvoir atteindre son cou de mes lèvres. Je n’ose pas lui laisser une marque, il risquerait d’avoir des problèmes. Je me contente d’embrasser cette peau qui me fait tant envie, de la caresser avec mon piercing et de la lécher du bout de ma langue alors que mes mains sont devenues plus baladeuses et caressent sans gêne le bas de son dos.



    _Je te promets que je ferais de mon mieux pour que tu n'oublie jamais cette nuit, qu'elle reste gravée dans ta mémoire..., murmurais je contre son oreille
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MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeJeu 25 Mar - 12:48

Il faut avouer aussi que je n'ai pas beaucoup de comparaison cela sera ma première fois, comme dire le prêtre à qui je me confesse "je suis aussi vièrge que le jours ou je suis sortis du ventre de ma mère"ais je préfère être vièrge plutôt qu'on me traite de putain cela dit. Mais toi c'est différent cela vis six moi. Bon si l'on c'était vue durant ses six moi nous l'aurions sans doute fait bien avant mais durant cette période je n'ai jamais cessé un instant de t'aimer et de rêvé pouvoir être au creu de tes bras rien que pour une nuit. Mais je me rendis alors compte qui dès se soir tu possèderais la totalité de mes nuits. Vu que j'ai décider que tu deviendrais mon valet privé.
Mais pour information je ne ris pas de lui, je ris de sa crainte car il faut mieux en rire qu'en pleuré, moi aussi j'ai peur mais il ne faut pas pour autant e sentir si mal il n'y a rien de plus naturelle chez un homme que de faire l'amour selon moi. Ce n'ai pas un examen et je n'ai pas envie qu'il se surpasse, j'ai juste envie qu'il s'occupe de moi qu'il me caresse, m'embrasse. Si il fait cela ma nuit sera forcément réussie. Mais je ne sais pas comment lui aire comprendre ça et c'est assez frustrant. Lorsque qu'il me tire sur lui je m'installe à califourchon et je me baisse alors pour l'embrasser tendrement mais j'approfondis j'échange pour qu'il devienne plus passionné, j'essaye de lui donner un peu confiance car il a vraiment l'air d'avoir peur. je sens sa main chaud sur ma peaux. Cela me fait frissonné, il est si doux. Il finis par doucement retirer ma chemise et la je me remet sur le côté. Mais pourquoi ne me regarde-t-il pas je pourrais facilement me vexer Mais je décide d'être patient. je lui tourne alors délicatement la tête en l'embrassant chastement


-Mais si tu n'a pas envie dit le moi je comprendrais


Murmurais-je d'une voix calme avec un pointe de sensualité. Il se met a rougir je vais finir pas laisser tomber hein je lâche sa tête et m'allonge sur le dos cela m'ennuie car j'ai l'impression de le forcé, c'est ce que je ressent lorsque je le vois et j'ai pas vraiment envie de le violer. C'est alors à son tours de venir un peu sur moi et je l'embrasse à ce qu'il me susure à l'oreille.


-Mon amour, tu as mes nuit dans la totalité pour m'emener là ou personne n'ai encore aller. ne te mets pas un pression pareil. Ecoute je pensais attendre la fin pour te le dire. Mais je te nomme officilement mon valet de chambre privé, tu devra me suivre, me protéger, 'avantage du valet de chambre c'est qu'il mange à ma table et qu'il a droit à me quartiers car il doit me protégé aussi la nuit. Néanmoins je devrais t'apprendre en secret à manier une épée et les bonnes manières de l'époque sans oublier que je t'apprendrais aussi à monter à cheval et tu sera aussi obligé de changer de vêtement mais c'est une manière de vivre avec moi. Bien sûr je te laisse le droit de refusé, je comprendrais que tu n'ai pas envie de me suivre partout



Dis-je en caressant son torse mais il était excité car ses tétons étaient très dur cela signifiait donc qu'il avaitenvie de moi. Je lève légèrement un genoux pour venir caresse de celui-ci ses parties génitales. Je pense qu'il faut le mettre un peu en confiance c'est ce que j'essaye de faire.
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MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeJeu 25 Mar - 12:49


    J’ai confiance en lui, j’ai envie de lui, je veux lui montrer que je l’aime autrement que par les mots, je veux pouvoir lui montrer durant tout une nuit, l’étendue de mon amour pour lui. Si je devais lui montrer par des nuits entières à lui faire l’amour combien je l’aime, je devrais carrément passer toutes les nuits de ma vie à lui faire l’amour. Mais encore faudrait il que je sois capable de lui faire ce soir. C’est pas l’envie qui manque croyez moi, j’en ai vraiment très envie, rien que de le voir torse nu si près de moi, contre moi, ça… m’excite. Je ne vois qu’une partie de son corps mais j’imagine déjà ses longues jambes et ses cuisses que je pourrais caresser sans m’arrêter une seule seconde. Après les quelques mots que je lui ai glissé à l’oreille, il m’embrasse puis il me fait à nouveau une déclaration qui me fait frissonner tout entier, utilisant à nouveau ce surnom qui me réchauffe le cœur et qui me le fait battre à une vitesse incroyable. Et puis il m’avoue qu’il veut que je devienne son valet privé, avec le plus gros avantage c’est que, si j’ai bien compris, je devrais le suivre absolument partout, ne jamais le lâcher d’une semelle, que je pourrais dormir dans la même chambre que lui, mais qu’en contre partie je devrais porter des vêtements de l’époque, que je devrais apprendre à manier l’épée, les bonnes manières et tout ce qui va avec. Franchement, s’il le faut, je ferais tout ce qu’il me demande si c’est pour ne plus jamais le perdre de vue, pouvoir rester avec lui tout le temps, dormir près de lui, je ferais n’importe quoi. J’allais lui répondre mais je laisse échapper un petit couinement en sentant son genou frotter contre mes parties intimes. Putain il va me rendre totalement fou ce gars… Je reprends peu à peu confiance en moi et me positionne à quatre pattes au dessus de lui, m’asseyant sur son bassin, mes mains sur sa taille et mes lèvres à quelques millimètres des siennes.



    _J’adorerais être ton valet, à condition que tu n’abuses pas trop de tes droits tout de même, dis je avec un petit sourire histoire de détendre un peu l’atmosphère avec une blague pourrie dont je suis le spécialiste. Je ferais n’importe quoi pour toi Gabriel, vraiment n’importe quoi. Tu peux me demander absolument tout ce que tu veux que je le ferais sans réfléchir, sans penser aux conséquences.



    Ses mots qu’il m’a murmuré m’ont carrément détendu, enfin je pense parce que maintenant je ne pense qu’à lui donner le plus de plaisir possible. J’embrasse chastement ses lèvres en une légère caresse avant de descendre mes lèvres dans son cou. Je me retiens, comme les fois précédentes, de lui laisser une marque qui ne lui attirerait que des ennuies. Sa respiration se fait plus haletante lorsque je commence à embrasser son torse, puis ses tétons avec lesquels je joue, surtout avec ma langue et en les caressant de mon piercing. Si j’en ai un de piercing, autant qu’il soit utile et qu’il fasse plaisir à quelqu’un. Je descend plus bas jusqu’à embrasser son ventre et son nombril, avant de remonter jusqu’à ses lèvres et de dériver vers son lobe d’oreille que je m’amuse à mordiller en ondulant contre Gabriel pour frotter nos bassins ensemble , lachant quelques faibles gémissements à son oreille. Mais mains s’activent désormais à essayer de lui retirer son bas, mais je suis pas un expert dans cette matière... Je crois que cette fois, je suis bel et bien lâché.
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MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeJeu 25 Mar - 12:52

Moi abusé de mon autorité n'oublions pas que s'il travaille pour moi j'ai tous les droits sur lui il n'ai pas payer avec de l'argent. il est payant en gîte et en couvert et...en gâterie sans nul doute. Je l'entend cuiner suite à la position de mon genou. mais ce qu'il me dit ne tomba aps dans l'oreille d'un sourd, il ferais n'importe quoi pour moi peu importe ce que c'est et en plus il promettait, pauvre fou quel inconcsient de me dire un tel chose. Oh j'userais de cela c'est un évidence cela sera bien plus simple ensuite. Tu t'assois alors sur mon bassin je sens un légère errection contre moi mmh c'est bon. Je lève mes bras au dessus de ma tête alors qu'il viens m'embrasser tendrement le cou. J'adore ça pui le torse jouant avec mes tétons dréessé et très dur. Et sentir ce métal vrois contre me fait frissonné c'est si bon. Je ferme els yeux ouvrant très légèrement la bouche pour laisser échapper un doux gémissement d'envie. Mais c'est lorsque tu touche a mon oreille que je perd pied, le moint très sensible en moin de deux je me sentait mal dans mon pantalon bien trop serré. je te sens avoir de le peine pour le retiré.


ça aussi je t'apprendrais - retiré des vêtement d'époque


Murmruais-je sensuellement en l'aidant à me l'ouvrir pour me l'enlever Il me restait encore un unique vêtement qui "protégais mon intimité fièrement dure et bien dressée. Mes doits vinrent ensuit s'occuper de ton pantalon, pour le moin curieux. mais je m'en sorti. Je le descendis et passa une main dans ton dernier vêtement a toi d'abord sur les fesses puis je les ressorti pour caresser tes cuisses. Tu était si désirable. je fit sortir ton membre qui était à la verticale et l'effleura de mes doigts. je me mordi la lèvre inferieur et te fit un sourire avant de me faire glisser sou toi jusqu'a ce que mon visage soit à la hauteur de tes testicule que j'embrasse doucement je les mordille aussi alors que ma main caressais le "reste" avant que ma langue ne commence a le lécher puis que je le prenne doucement en bouche. ensuite je l'embrasse et je le masse sensuellement
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MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeJeu 25 Mar - 12:53

    J’avais un peu de mal avec son satané bas, son pantalon ou je sais pas quoi. En même temps, moi j’ai plus l’habitude des jupes ou des slims, ces horribles pantalons que les filles s’obstinent à mettre et pleurent lorsqu’elles n’y rentrent plus. Moi je préfère largement les baggy bien larges. Je sens mes joues rougir lorsque Gabriel me dit qu’il m’apprendra aussi à retirer ces vêtements que je n’aime pas vraiment, mais que je devrais apprendre à porter si je veux pouvoir rester à ses côtés tous les jours, sans le quitter une seule seconde. Moi qui pensais que je devrais partir demain à l’aube et ne plus revoir celui qui fait battre mon cœur durant une durée indéterminée, je me suis planté en beauté. Bon peut être que demain je devrais repartir en cuisine, le temps qu’il fasse part à je ne sais qui de sa décision de me prendre comme valet privé. Mais le plus important, c’est que bientôt je n’aurais plus à me cacher pour rester près de lui, même si je sais que je n’aurais droit de le prendre dans mes bras et de l’embrasser que lorsqu’on sera tous les deux dans sa chambre, c'est-à-dire le soir. Mais bon, au moins la journée je pourrais être près de lui. Après m’avoir aidé à retirer son vêtement, il me retire mon pantalon. Et je suis assez surpris qu’il ne me demande pas mon aide. En même temps, l’ouverture n’est pas compliquée… Ses doigts me font gémir. Et je m’attendais à tout sauf à ce qui allait suivre. Je vois Gabriel se glisser sous moi et ce qu’il m’inflige c’est pire que de la torture. Des dizaines de filles m’avaient fait subir des trucs pareil, mais comparé à lui ce n’était rien. En même temps lui c’est un homme donc il sait comment s’y prendre. Je me mords la lèvre inférieure pour ne pas crier, si un domestique passe par là et qu’on se fait chopper, on est bon tous les deux pour la potence. Je gémis comme pas permis, jamais une telle fellation ne m’a fait autant de bien. Au bout d’un moment, il remonte de lui-même et je ne me retiens pas pour capturer sauvagement ses lèvres. Mes mains glissent rapidement le long de son corps fin et je finis de lui retirer son dernier vêtement qui me gênait atrocement, mais qui devait plus le gêner lui que moi. Je baisa son torse une nouvelle fois, je ne laissais plus sa peau douce comme la soie et si fragile. Je descends sur son aine, puis vers la source de tous mes désirs. Je n’avais jamais fait ça auparavant, mais il y a toujours un début à tout. Mes mains se glissèrent habilement dans son dos pour arriver à ses fesses que je caressais désormais sans gêne. J’ai oublié toute ma timidité, maintenant je ne veux que lui faire l’amour toute la nuit. Ma bouche arrive sur sa virilité fièrement dressée, j’y dépose quelques baisers avant de le prendre en bouche et de commencer des mouvements très lents, histoire de le frustrer un peu. J’ai toujours aimé entendre mes partenaires gémir, me supplier carrément d’aller plus loin. Je finis par remonter vers ses lèvres, que je ne fait qu’effleurer des miennes. Je donne un premier coup de bassin, entrechoquant nos membres en feu. -
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MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeJeu 25 Mar - 13:24

Bon c'est vrai que tu ne pourra jamais être présenter au monde comme mon amant, surtout que je suis censer épouser un femme dans quelques semaines. Oh tout le monde sait que je ne l'aime pas elle non plus ne 'aime pas mais elle m'épouse pour me rendre service et pour cacher mes tendances. Et moi je lui rend service car elle a toujours voulu avoir des enfant et cette pauvre malheureuse est stérile, donc techniquement si je suis enceinte elle aura un enfant. Bon tout ça j'ai évité de te le dire c'est vrai et je pense même que je ne te le dirais pas du moins pas se soir Tu sera sans doute en colère, Non je sais que tu serais plus hors de toi quand tu l'apprendra mais après tout ce n'ai qu'un mariage d'intérêt et Celle que je fait épouser veux des enfants seulement que je sais qu'elle est incapable de s'en occuper donc se sera toi qui devra le faire. si tu le veux bien sûr. De plus c'est plus crédible si j'ai un enfant que je sois marié non ?!

Après avoir terminé ma fellation tes yeux sont assombris de désir tu me retire mon dernier vêtement avec hâte en m'embrassant passionnément. Ensuite tu embrasse mon torse, ce qui me fait gémir, oui c'est bon. Je me cambre en entant tes main dans le bas de mon dos puis sur mes fesses. Je ne me retiens pas de te griffer lorsque je te sent me faire une fellation. Je gémis en étirant la tête vers l'arrière. Mais cela me frustrais un peu que tu n'ai pas plus vite. Lorsque tu remonta su moi j'écartais mes jambe au maximum de leur capacité J'ai un léger gémissement lorsque tu ne fait qu'effleurer mes lèvres Mais c'est super frustrant là. Et ton coup de bassin me laissa échapper un cri un peu plus fort que les autre je mis une main devant ma bouche avant de t'embrasser tendrement et de me mettre dans une position qui sera, pour toi plus simple pour me prendre.


-Mmh..prend moi..là..maintenant


Murmurais-je d'une voix pleine d'envie alors que mes main parcourais ton corps J'aime toucher ton membre douloureux, et le but était de te faire faire ce que j'ai envie que tu fasse donc en te caressant je te pousse à bout
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MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeSam 27 Mar - 23:25

    Pour toi j'étais vraiment prêt à tout, tu pourrais me demander n'importe quoi je le ferais. Je pense que le proverbe "l'amour rend aveugle" vient de là, à part toi je ne vois plus rien autour de moi, il n'y a que toi, ton visage, ton parfum, ton regard, tes lèvres, ton corps, ta voix, toi. Et puis, il n'y a vraiment qu'avec toi que je me sens moi même, que je me sens entier, que je me sens vivant. Avec toutes ces filles, c'était tellement...rien, comparé à ce que je ressens lorsque je suis près de toi, ce n'est rien du tout. Même pas un millième de ce que je peux ressentir avec toi. Je suis totalement accro à toi, je me battrais pour rester à tes côtés. Je ferais tout pour pouvoir continuer à te serrer dans mes bras la nuit venue. Ca serait notre secret, le plus beau secret qui puisse exister et qu'on partagerait seulement avec la nuit, les étoiles et la lune. Car il n'y a qu'elles qui seront au courant de notre amour que personne ici ne peut et ne veux accepter. Mais on ne peut pas apprendre aux gens ce qu'est l'amour, ils ne le sauront que si ils le connaissent, ils ne peuvent pas l'apprendre de deux personnes qui s'aiment plus que tout, encore moins si ils sont carrément coincés et qu'ils ne peuvent pas comprendre que deux hommes peuvent s'aimer, comme deux filles pourraient s'aimer, l'amour peut prendre des millions de formes, ne seront acceptées que celles que la société veut bien voir au grand jour, les autres doivent rester dans l'ombre. Certes je regrette qu'on ne vive pas au 21ème siècle, car là bas on est libre d'aimer qui on veut, comme on veut, autant qu'on veut, même si encore une fois il y a quelques personnes qui ne seront pas d'accord. De toute façon, il faut bien qu'il y ait des cons sur Terre, qu'on le veuille ou non. Alors au lieu de les fuir sans relâche, autant apprendre à vivre avec eux. C'est le meilleur moyen d'être heureux dans la vie.

    J'eus un petit rire en t'entendant pousser un cri un peu plus fort que les autres puis en mettant ta main sur ta bouche. Tu es tellement adorable comme ça, comme un enfant prit en faute, ça me fait littéralement craquer. Je ne résiste pas à l'envie de te laisser t'emparer tendrement de mes lèvres en continuant d'onduler contre toi, parce que je ne pourrais désormais plus jamais me passer de tes baisers, de tes bras, de ta chaleur, de toi tout simplement. Tu es devenu ma drogue. Sentir ton corps chaud et légèrement transpirant contre le mien est une sensation que je n'avais encore jamais connue. Certainement parce que moi je 'baisais' toutes ces filles qui passaient sous moi, alors que là je ne te baise pas, non loin de là, je vais te faire l'amour, et c'est tellement différent de la baise, c'est bien meilleur. Je lâche tes lèvres pour pouvoir gémir en me mordant la lèvre, c'est tellement bon l'amour avec toi. Je t'entends alors me demander de te prendre tout de suite, là maintenant. Je frisonne à cette phrase. Alors ça y est, on ne va faire qu'un toi et moi... Je pensais pas que je stresserais autant. Mais j'ai envie que cette nuit soit réussie, surtout pour toi. J'enfouis mon visage dans ton cou, embrassant encore et encore cette peau qui m'attire tant. Puis je te regarde dans les yeux, posant mon front contre le tient.

    _Si jamais je te fais mal, arrête moi d'accord ? Ne me laisse pas continuer si jamais tu as mal, parce que sinon ça le fera pas vraiment.

    Dis je en embrassant tes lèvres de la plus amoureuse des manières. J'attrape un oreiller non loin et le place sous ton bassin, pour que ce soit plus facile autant pour toi que pour moi. Puis je pose mes deux mains sur tes hanches, et tout en embrassant tes lèvres, ta mâchoire et ton cou, j'entre lentement en toi, le plus doucement possible pour ne pas te faire mal, m'arrêtant à chaque seconde pour que tu puisse t'habituer. J'halète de plus en plus fort tellement c'est bon, j'aimerais m'enfoncer en toi presque sauvagement, mais je me fais la guerre intérieurement pour me maîtriser et rester aussi doux que possible, guettant le moindre signe, le moindre murmure qui m'indiquerais que je dois me stopper.
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MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeDim 28 Mar - 15:27

Moi amour pou toi dépassait tout tout ce qui était possible d'imaginer et maintenant je comprend pourquoi j'ai subis la torture et que je me suis fait tuer sans jamais avouer avec qui je fricottais. Cela t'aurais mis en perile . Tu n'ai déjà pas à l'aise dans cette époque en étant libre alors si tu dois en plus être emprisonné à vie. Non et puis, bon je sais que pour toi se sera vraiment dur je le sais mais sincèrement je préfère mourir en protégeant notre famille enfin future famille plutôt que de devoir nous cacher comme des repris de justice. Mais je sais parfaitement que la dessus nous ne nous entendrons jamais c'est d'ailleurs pour cela que je refuserais de t'en parler. Durant ses six moi j'ai beaucoup réfléchit à ça t je sait comment cela se passera. La classe anglaise voudra que l'on m'arrête dans mon bureau sans doute on ne me mettra jamais les fers je suis un noble. je te dirais que j'ai une affaire importante a régler que te demandrais de retourner au palais car ma sécurité serais assurée par les deux hommes qui m'escortait. Et après .J'avoue que je ne sais pas. Une fois mis en cage je pense d'écrire une très longue lettre en espèrant que tu ne me haïra pas.

Mais revenons donc a nos petites affaires. Je n'ai jamais ressentis un tel plaisir, une telle envie. pour corps transpire légèrement sous le désire intance d'obtenir l'ultime bonheur. et puis ton corps me donne terriblement chaud c'est aussi pour ça que je relève les bras et que j'écarte les jambes. J'aime tellement que tu te frotta a moi comme ça c'est si excitant. mais j'ai très envie que tu ne fasse qu'un avec moi j'en avais envie depuis si longtemps Je souris a ce que tu me dit, tu es tellement gentil si attentionner. je t^'embrasse chastement.


-je te promet de te dire si la douleur et impossible


Murmurais avec un sourie. Oui parce la douleur je n'y échapperais sans doute pas vue le volume de ton...truc. je réspire calmement alors que je sens ton gland entrer en moi. Hum c'est bon oui. Alors ou c'est douloureux mais c'est une douleur agréable Je gémis un peu comme pour t'inciter a aller plus loin. Tu y va lentement je me cambre en te sentant arriver au bout, oh oui, c'est si bon. je t'embrasse passionnément en gémissement alors que tu commence a faire des lents vas et viens. Mon dieu je me sent perde pied tellement c'est bon. J'accompagne des coups de rein ent e griffant un peu le haut des épaules

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Six mois loin de toi Vide
MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeDim 28 Mar - 21:24

    [justify] Je voulais absolument qu'il me fasse cette promesse pour que cette nuit soit la plus agréable possible pour lui. Je me doute qu'au début il aura mal, c'est pour ça que j'espère que sa douleur s'effacera vite pour qu'il puisse ressentir autant de plaisir possible. Alors j'essaie aussi d'être aussi doux possible, d'aller lentement pour que Gabriel puisse s'habituer à ma progression lente en lui. Alors que je rentre lentement en lui, m'efforçant d'aller doucement et maîtrisant mon envie de le prendre là comme ça rapidement et puissamment. C'était bien mieux que toutes les autres filles que j'avais pu connaître. Je sais désormais que je ne me passerais plus jamais de cette délicieuse sensation de son corps autour de moi. Ses gémissements me poussent à aller plus loin en lui, jusqu'au bout, toujours aussi doucement. J'enfouis mon visage dans son cou et mord doucement sa peau, la sensation est trop intense, j'ai envie de crier mais je me retiens, manquerait plus qu'on se fasse choper là maintenant ! Alors pour étouffer mes gémissements, je mords doucement, lèche et embrasse la peau de son cou, son lobe d'oreille et sa mâchoire. Lorsque je suis enfin entièrement en lui, je ne peux m'empêcher de soupirer de soulagement tellement c'est bon, puis je le sens se cambrer sous moi. Je devine alors qu'il n'a pas vraiment mal et qu'il aime ça, ça me rassure. Parce que je sais pas si je serais arriver à m'arrêter si il me l'avait demandé... Enfin j'aurais quand même trouver un moyen pour me stopper.

    Nous ne formons plus qu'un désormais, autant par le fait que je suis totalement en lui que par le baiser passionné que nous échangeons et qui est délicieux. Je joue de ma langue contre la sienne et ses lèvres alors que je commence doucement à me retirer de son corps. Je sors presque entièrement de son corps, d'un coup je me sens vide, comme si il me manquait quelque chose. Mais quand je fais à nouveau partit de lui, cette sensation disparait totalement. C'est tellement bon putain... Je sais pas si je vais tenir longtemps comme ça. Je lui fais l'amour, doucement, tendrement, lentement, pour ne pas le blesser. Mes mouvements prennent un peu plus de vitesse sous ses gémissements et nos baisers que nous échangeons pour étouffer nos râles de plaisir. Je glisse une main dans le dos de Gabriel pour le coller entièrement contre moi, pour sentir tout son corps contre le mien, sentir sa chaleur se mélangeant à la mienne, sentir son torse se soulever sous sa respiration de plus en plus rapide, sentir le moindre de ses mouvements alors que ses mains me griffent les épaules. Ca ne me fait pas mal, je me surprends même à aimer ça, un peu de douleur me permet de me concentrer sur quelque chose dans tout le plaisir dans lequel je me noie. Mon autre main parcourt son torse, caresse son ventre, son aine puis vient frôler son membre. Je le caresse au même rythme que mes mouvements, du moins j'essaye. J'ai du mal à me concentrer sur quelque chose. Je respire de plus en plus vite, j'ai du mal à remplir mes poumons d'air. Je ne maîtrise plus mon esprit, des phrases incompréhensibles arrivent à m'échapper dans des murmures, puis une en particulier m'échappe alors que j'avais mon visage dans le cou de Gabriel, ma bouche près de son oreille...

    _Oh putain Gabriel...je... je t'aime Gabriel...

    Je me sens de plus en plus proche des étoiles, alors j'accélère les mouvements de ma main sur la virilité de mon amant, je veux qu'il touche les étoiles avant moi, je veux le voir jouir, je veux voir son visage déformé par le plaisir.
[/jusitfy]
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Six mois loin de toi Vide
MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeDim 28 Mar - 23:05

Je n'ai jamais imaginer que faire l'amour serais si bon.je transpire contre ton corps, notre sueur se mêle et nous avons peine a séparé nos deux être brulant de désir l'un pour l'autre. mes cheveux, d'un noire brillant collent contre ma nuque et quelque mèche sur mon front. mes deux main reste au niveau de tes épaules que je griffe de plus en plus fort, jusqu'a ce que le sang coule a petite gouttes rouges et brillantes. Elles coulaient lentement le long de ton dos brillant du à la sueur de l'effort et du désir. Mes doite vienne donc caresser ta nuque et nos baiser son passionné voir sauvage parfois et nos gémissement y sont attenué si je n'avais pas tes lèvre sil y a bien longtemps que j'aurais rêveillé tous les doméstique du palais avec mes cris plutôt aigües. je me sens tellement bien lorsque tu es là. Et j'avoue que lorsque tu es ressorti j'ai eus l'impression qu'il me manquait un truc très important a mon bien être. Et lorsque tu revins je me sentait plein et complet. ça faisait tellement de bien j'avais des mouvement qui t'accompagnait alors que tu aimais caresser mon sexe très enflé et douloureux. Et là quelque gémissement tel que "Han oui...Jordan...ouiii" Sortir de ma gorge qui commençais a être terriblement séche.

je sais ce que tu veux au fond, c'est me voir jouir, voir mon visage se déformé sous le désire me voir hurler ton prénom d'une voix rauque (vu que j'ai la gorge sèche). Oh et tu le verra car j'avais l'impression de toucher les étoiles à l'heure qu'il était..Je me cambre alors à mon maximum alors que j'avais de plus en plus de peine a respirer. Oui, oui encore j'en voulais juste encore un peu. Je sentait une chaleur grandissant envahir mon coeur, une chaleur encore inconnu, je ressentais des picottement au pour de mes doigts et mon sexe me faisait de plus en plus mal. et puis. Ouaw j'ai vue les étoiles, je suis au somum du plaisir . J'éjacule dans un cris rauque en articulant ton prénom accompagné de quelques oui de plaisir intence. Mes taire se froncèrent et mes yeux se plissèrent alors que j'ejaculais ma semence contre donc ventre. et ton bassin. Cela ne dura que quelques seconde mais j'eus l'impression que le temps s'était arrêté.. Je revins à la réalité en t'entendant toi aussi rugir si je puis dire.J'avais ouvert les yeux juste attend pour te voir.

Nous restâmes un instant sans bouger du tout puis je te senti te retirer et t'allonger à côté de moi. Je pris un serviette et te la tendis pour que tu puisse t'essuyer. J'avais la réspiration aletante et il me fallut quelque minute pour pouvoir parler a nouveau. je nous recouvrais pour éviter que nous attrapions froid, puis te regarda


-Moi aussi je 'aime Jordan et tu viens de m'offrir la plus belle nuit de ma vie.


Murmurais-je en m''approchant de toi pour t'embrasser tendrement avant de me blottir. Car une fois l'effort terminé la température redescend très vite.. Je pose ma tête contre ton épaule avant de fermer les yeux un instant. Je caresse ton torse puis soupire je devais te parler du "mariage".


-Jordan, je sais que c'est pas tellement le moment mais je dois te parler d'une chose. J'ai convenu avec une amie d'enfance a moi que j'allait l'épouser. Pas par amour, juste pas intéret. Je lui offre une place à la coure des bijoux et des robes et elle nous couvrira, elle couvrira l'enfant et trouvera de quoi dire si par hasard j'ai terriblement envie de passer un moment avec toi dans la journée. je sais que ce n'ai aps le truc qu'un amant aime à entendre, j'en suis totu a fait conscient, mais comme je te l'ai dire ce ne sera qu'un mariage d'intérêt il n'y aura rien de plus et puis cela ne changera rien a notre mode de vie sil sera peut être juste facilité mes absence serons défendu par ma soit distante épouse et elle sait que je suis amoureux que quelqu'un d'autre elle aussi par ailleurs seulement que son homme n'ai pas riche et elle a besoin d'argent.


je me redresse un peu


Mon amour, si tu n'ai pas satisfait par cela je peu encore annuler si tu le souhaite mais réfléchit pour l'avenir. je tiens a préciser que même pour al "nuit de noce" elle n'aura pas mon lit seul toi pourra dormir contre moi. Et je ne l'embrasserais que su la joue et uniquement si cela et vraiement obligatoire suite a une situation particulière.
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Six mois loin de toi Vide
MessageSujet: Re: Six mois loin de toi   Six mois loin de toi Icon_minitimeLun 29 Mar - 11:09

Lorsque je te sentis te cambrer contre moi, je savais que tu étais proche, vraiment très proche. Je l’étais moi aussi, mais je me retenais aussi longtemps que possible, je voulais te voir jouir d’abord. Te sentir atteindre le paroxysme du plaisir contre moi, c’est tout ce que je voulais pour l’instant. Tes gémissements m’emportaient loin d’ici, carrément dans un autre monde. D’habitude avec les filles c’était mon plaisir qui passait en premier, le leur après, je ne pensais qu’à moi. Là en ce moment, je voulais que toi tu prennes autant de plaisir que possible, mon plaisir ce n’était que du bonus. Mais putain quel bonus ! Alors que je m’enfonçais une nouvelle fois en toi, je te sentis te cambrer à nouveau, collant nos corps comme pour les faire fusionner, et te vider entre nos deux corps. Je grave alors ton visage tel qu’il est à cet instant dans ma mémoire. L’orgasme chez toi est la chose la plus belle qui m’ait été donnée de voir dans ma vie. Et même si plus tôt dans la soirée j’avais peur de franchir ce pas avec toi, maintenant je ne regrette pas de l’avoir franchit. Je te trouve tout simplement parfait à cet instant, la respiration haletante, le visage encore déformé par une moue de plaisir. Mais je sors vite de mes pensées lorsque je me sens venir à mon tour. Je retiens un crie et gémis d’une manière assez rauque à la place, je gémis ton prénom et me vide en toi. Je crois que jamais je ne me suis autant vidé, jamais je n’ai eu un orgasme aussi puissant et aussi bon.



Il me faut alors un moment pour retrouver totalement mes esprits. Mais pour l’instant je me laisse doucement tomber sur toi, profitant encore de ta chaleur en récupérant mon souffle et en laissant mon cœur se calmer de sa cadence intenable. J’avais mon visage posé sur ton torse, juste au dessus de ton cœur que j’entendais battre aussi vite que le mien pour peu à peu se calmer et reprendre un rythme normal. J’aurais pu rester là et m’endormir, mais à la place je me redresse lentement et me retire de ton corps avant de m’allonger à tes côtés. Je prends la serviette que tu me tends et m’essuie avant de répéter ce geste sur toi, en profitant pour caresser ton ventre. J’adore cette partie de ton corps, ta peau y est si douce…comme celle d’un bébé. Ton murmure me fait frissonner plus que n’importe quoi d’autre et quand tu m’embrasses en te blottissant contre moi, je tente de faire passer tout mon amour pour toi dans ce baiser, j’essaie de lui donner autant de tendresse que possible en caressant ta nuque d’une main. Je m’allonge ensuite plus confortablement avant que tu ne viennes t’allonger contre moi, la tête sur mon épaule. Je glisse une main dans ton dos et le caresse lentement de haut en bas. Je t’écoute ensuite attentivement. Certes ce que tu me dis ne me fais pas du tout plaisir, vraiment pas, mais j’essaie de ne pas me mettre en colère. Je réfléchis en même temps et finalement, tu as raison, ce n’est peut être pas une si mauvaise idée, ça nous permettrait d’être en sécurité en quelque sorte, et ça te fera une bonne excuse. Tu te redresse un peu et m’avoue que si j’insiste vraiment, tu annuleras tout. Je finis par poser un doigt sur ta bouche, puis ma main remonte dans ta nuque pour approcher ton visage du mien et t’embrasser aussi amoureusement que possible.



_Gabriel, je vais t’avouer que ce mariage ne me réjouis vraiment pas, mais pas du tout. Mais comme tu me l’as dis, c’est un bon moyen pour nous protéger. Alors si elle ça peut l’aider, que nous aussi et qu’elle promets de ne jamais révéler notre secret, je veux bien que tu l’épouse. Je te fais confiance mon ange, je pourrais même te confier ma vie, je sais que tu en prendrais soin.



Le surnom était sortit tout seul sans que je puisse me contrôler, j’avais un peu peur de la réaction de Gabriel…
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Six mois loin de toi

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